N'en jetons presque plus ! Trions, reprenons, détournons.
L'essentiel est presque bien dit et redit, en long, en large...
Reprenons serré, de travers, à travers.
Par les moyens d'avenir du présent. Pour le présent de l'avenir.
(OTTO)KARL

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2007-05-23

meilleur monde

Les utopies apparaissent comme bien plus réalisables qu'on ne le croyait autrefois. Et nous nous trouvons actuellement devant une question bien autrement angoissante : comment éviter leur réalisation définitive ? Les utopies sont réalisables. La vie marche vers les utopies. Et peut-être un siècle nouveau commence-t-il, un siècle où les intellectuels et la classe cultivée rêveront aux moyens d'éviter les utopies et de retourner à une société non utopique, moins « parfaite » et plus libre.
(N.B.)

la loi de l'oeuf

(Par Jean-Louis Costes, le 25 avril 2004)

C’est vrai que toutes ces petites salopes à la sortie de l’école, j’aimerais bien me les faire. Trop sexy à rigoler entre copines, petits jeans moulants, en matant les mecs de biais...

Mais moi je m’appelle pas Dutroux. Je rentre chez moi et je me branle en pensant à leur petit cul chauve. J’ai pas les couilles assez pleines et la queue assez raide pour m’acheter la camionnette à crédit et les embarquer de force direction ma cave à Saint-Denis.

Et que je me les saute et que je me les viole et que je me les torture... Et le top ça serait que je branche une vieille salope de trente ans pour filmer pendant que je les nique... Et de temps en temps je m’arrête de coïter la gamine pour vérifier que la chatte de la vieille salope est bien mouillée... Quoi ! Tu mouilles pas vieille salope?! C’est quoi ton problème, ménopausée ? Ça te rend jalouse, connasse, que je nique les jeunes et que toi la vieille tu te retrouves préposée à la caméra et plus à la queue? Ah vieille pute, avoue que ça t’exciterait grave que je t’attache à sa place et que je t’encule! Mais désolé poufiasse, même le violeur n’a qu’une queue et fait ce qu’il peut !

Mais bon... je fantasme, je fantasme et je me branle... Même la baise normale facile avec une pute gratuite j’y arrive pas ! Alors laisse tomber le viol ! Trop compliqué. La camionnette, les chaînes à acheter à Castorama, l’enlèvement... Et tout ça la queue raide tout du long, parce que si tu débandes t’es plus motivé. Débandade, doute du violeur...

T’imagines Dutroux qui débande au moment où nue enchaînée cuisses écartées !!!

Là c’est clair, il va être déçu. Tout cette galère pour se la faire et maintenant il débande! Il va grave péter les plombs sadique quand il repense aux deux heures de queue à Castorama pour les chaînes. Il débande le Dutroux, c’est clair, il tue.

Mais moi bof... Je fantasme, je tchatche, j’écris des conneries, mais en vrai, question cul j’assure même pas cinq minutes de queue assez raide pour pénétrer. J’appuie ma queue contre le vagin le plus ouvert et mouillé de la terre, et ma queue se tord molle comme contre une porte en fer. Alors tu m’imagines violer à travers le jean serré une chatte sèche contractée?!?

J’ai deux problèmes qui m’empêchent d’être Dutroux. Non c’est pas la morale et la punition, parce qu’un mec qui bande, il connaît plus ni morale ni punition. Il connaît plus que trou à boucher, et tout le reste il zappe.

Les deux trucs qui m’empêchent de violer c’est : Un, j’arrive pas à bander face à la chatte offerte. Tant qu’elle dit non, ça va... Mais dès qu’elle écarte « oui vaaaas yyyyy », je débande direct. Oui oui, je sais c’est bizarre, faudrait que j’aille au psy... Mais comme je jouis dix fois plus en me branlant devant elle, y’a pas urgence du point de vue de ma queue.

Et deuxième problème qui m’empêche de devenir violeur c’est : après l’orgasme, je culpabilise et déprime grave (Ouais parce que des fois je suis tellement bourré que je la baise dans sa chatte sans savoir que je suis dedans! Je crois que je suis en train de me branler entre le drap et son anus (et ça, ça me fait bander grave)... Alors qu’en fait cette maligne elle a foutu la queue du drogué impuissant dans sa chatte... Donc des fois, par erreur, je tire dans le trou.

Mais alors après putain la déprime le dégoût qui monte d’un coup ! Je lui vomis sur la gueule et elle pleure:
- Mais qu’es ce que t’as ? Je te dégoûte, c’est ça ?!
- Nannn, c’est pas toi, c’est ta chatte qui me dégoûte...

Je vous dis tout de suite les mecs, c’est pas le truc à dire. Elle se casse direct. Elle a pas fini de remonter son collant qu’elle est déjà dans la rue à me traiter de pédé. Et moi je finis de dégueuler dans le sperme froid, trop-plein de sa chatte.

Alors, tu vois le plan si j’étais Dutroux ! Un, j’arrive pas à sauter la meuf enchaînée. Et si je finis par la sauter avec un litre de Gin dans la gueule, après la giclette, je tombe en larmes à ses pieds et je me roule dans le péché. Ça va la foutre mal sur la vidéo que je voulais revendre aux pédophiles pour rembourser les courses à Castorama.

Remarque, quand j’y pense, ça se peut que Dutroux il pleure et vomisse après le viol...

La queue raide il assurait, il était le cruel conquistador de la chatte. Mais une fois couilles vidées et débandade, c’est la débandade. Il redescend de son délire. Il voit la merde. La fille qui pleure qui va le dénoncer. Il flippe, il vomit. Elle continue à pleurer. Ça lui prend trop la tête et il la tue.

Bon j’étais pas là, mais c’est un scénario possible. Je veux dire, il l’a pas forcément tuée pour s’amuser. Des fois le poids du péché...

Évidemment, tant que t’es porté par le désir la queue raide qui anéantit toute peur et tout doute, c’est le triomphe. Ce qu’il faudrait aux mecs, c’est que leur queue elle soit toujours raide. Là on serait heureux. Mais c’est mal fait. On est programmés pour bander, c’est notre seule raison d’exister, mais 99% du temps on bande pas et on est bouffés par la faiblesse, l’inutilité, et l’angoisse de plus jamais rebander.

Dutroux, ça doit être un mec 100% mec qui supporte pas de pas bander une seconde. Ce qu’il doit préférer c’est acheter les chaînes à Castorama, faire la queue à la caisse, la queue sans arrêt raide. Il se complique grave le cul en organisant des viols compliqués pour faire durer la bandaison et retarder le plus possible le coït débandade dépression grave.

Je me mets à la place de Dutroux dans sa camionnette... Emporté par la bite raide, le désir qui rend chasseur de chattes, qui conduit comme un fou. Je franchis tous les tabous comme je franchis les feux rouges, à fond la caisse en klaxonnant sans jamais freiner. Et tant pis pour les fillettes qui traversent dans les clous. Elles sont sur le chemin du chauffard en rut. Pas de chance ! J’appuie et j’écrase car j’ai la queue raide.

Attention les filles ! Méfiez vous du Prince Charmant. Sa queue raide est une dague dans son pourpoint. En rut, c’est clair, le mâle est un tueur psychopathe. Ce qu’il veut c’est tirer son coup. Tirer un trou c’est tout. N’importe quoi, n’importe qui, n’importe comment. Et les meufs ne doivent jamais oublier ça quand elles jouent à cache-cache foufoune avec le chasseur. Car chasseur c’est dragueur mais c’est aussi tueur. Dans le petit disque dur du mec, le fichier « baiser » et le fichier « tuer » sont dans le même dossier. Alors il a vite fait de bugger le chimpanzé...

Un trou merde et que ça saute! Mon royaume pour un trou ! Pour le mec en rut, tous les moyens sont bons, quel que soit le prix. Il est prêt à tout donner, tout casser, pour tirer son coup. Car derrière le désir dévastateur du violeur-tueur il y a la tyrannie de l’espèce, l’instinct de reproduction : Tu es un mâle. Fécondes l’oeuf. C’est ton devoir, ta raison d’être, ton bonheur. Fais le à n’importe quel prix. Défies la loi, défies la mort, défies la fille qui dit non. Baises la en force, quitte à mourir. Ce qui compte c’est féconder l’oeuf puis mourir en paix.

Dans la cave, le violeur et sa victime peuvent mourir en paix, sacrifiés à la déesse mère.

Le chimpanzé, mû par l’instinct crocs sortis et vit raide, avance vers la femelle. Il la saisit au cou avec les dents et l’encule sans ménagement. C’est la vie. Je l’ai vu mille fois enfant dans les parcs nationaux du Kenya. Et Dutroux aussi a vu les lions violer les lionnes au soleil couchant dans « Nos Amies les Bêtes ». Éducation télévision...

Le mâle prend la femelle de force. C’est la loi de la jungle dans la jungle et aussi dans les villes, parce que la loi de la jungle, elle est pas dans la jungle mais dans les couilles. Les couilles sont pleines, la queue est raide... Et je hurle à la pleine lune et sors chasser la femelle à minuit comme mon chat Minou, si ronron à la maison, mais si violeur fou la nuit. Le matin il rentre couvert de sang et il dort toute la journée. Kif-kif Dutroux. La nuit il viole. Le jour il dort dans son slip sperme sanglant. Et kif-kif tous les mecs. Tous des tueurs psychopathes en puissance! Si le sperme gicle pas, le sang giclera. Faut que ça gicle, faut que ça troue. Un coup c’est tout. Et si le trou résiste, je le défonce.

A quoi bon résister au chimpanzé en rut, jolie guenon? Ou tu te laisses sauter et je te jette. Ou tu te laisses pas sauter et je te saute de force (Et alors tant pis pour toi, tant pis pour la casse). Franchement c’est pas moi qui te force. Je fais genre c’est moi qui te force pour faire genre je suis le mâle macho, le vrai mec, le tueur psychopathe. Je te frappe en te baisant pour faire croire c’est moi le boss et toi la victime.

Mais en vrai je contrôle rien du tout. Je suis le mâle en rut, le violeur tueur, esclave du désir. C’est pas moi qui te forces, c’est moi qui suis forcé. J’ai senti l’odeur de ton cul et le désir est monté d’un coup si fort, je perds la tête. Je ne suis plus qu’un cauchemar de queue raide qui te court derrière. Même moi je comprends pas. Je me vois courir. Je vois ma queue raide courir devant moi. C’est pas moi, c’est ma queue qui court. Et moi je suis parce que je suis attaché à ma queue. C’est ma queue qui court derrière toi, te casse la gueule et te viole. Moi, c’est à dire le tout petit fichier « Marc, gentil fifils à sa Maman », il a été effacé dans ma tête par le désir. J’ai senti l’odeur appel de ton cul, et morale et punition sont neutralisés le temps de l’érection. Ya plus que « baiseur » et « tueur » qui fonctionnent. Je te baise et te baise. Des fois je te baise et te tue. Des fois ça merde et je te baise pas, je me branle comme ce pédé de Costes. Des fois ça merde complet et je te baise pas, je te tue comme Dutroux.

C’est vrai les filles, la plupart du temps le désir se dissout dans une flaque de sperme dans la main ou dans la chatte. Et la seule casse c’est le tee-shirt taché et Papa va gueuler. Mais reste que tous les mecs poussés par l’instinct de reproduction sont potentiellement super dangereux. Je vous jure les filles, pas seulement Dutroux. Tous les mecs quand ils bandent sont des chasseurs de moules psychopathes.

Oui, même ton copain le gentil le mou petit machin. Tu lui refuses ton cul sous prétexte les règles et il pète grave les plombs et c’est parti Dutroux à la maison! Faites gaffe les filles, même moi Costes qui peut à peine bander et préfères me branler, défoncé seul avec une fille totalement confiante dans une cave ou sur une plage déserte, seul avec une fille dans un lieu désert, loin de la loi et de la punition, plus d’une fois j’ai senti sans raison monter en moi, comme un jeu dangereux, l’envie de la tuer. Je te souriais, je t’embrassais et je t’imaginais morte sous ma main. Pourquoi ?... Comme ça, je sais pas... Dans le petit disque dur du mec, le fichier « baiseur » et le fichier « tueur » sont dans le même dossier, tu sais... Des fois ça bugge pour rien...

Tu cherches des explications à Dutroux comme tu cherches des explication quand ton PC plante. Mais franchement ton PC plante, tu vois bien, c’est n’importe quoi n’importe comment ! Le mec en rut c’est pareil, super instable, super contradictoire, super dangereux. Instable comme la queue bande et débande.

Je bande et je suis heureux. Je débande et je veux mourir ou tuer.

Non seulement le mec est prêt à n’importe quoi pour baiser. Mais en plus, il est prêt à le faire n’importe comment. Pour le bandeur fou, y’a plus de morale et de punition. Je peux faire n’importe quoi, te tuer ou t’aimer, improviser les plus beaux poèmes d’amour tout en bouffant ta merde, t’offrir la place au concert de LTNO en piquant l’argent à ma mère alors que je hais LTNO. Tu vois, vraiment n’importe quoi !

Le mec qui bande c’est toujours un psychopathe. Un psychopathe dur comme Dutroux ou un psychopathe mou comme ton mec. Il t’a offert la place à LTNO... Dis toi bien qu’il aurait pu aussi bien t’éventrer.

D’ailleurs vous le savez bien vous les salopes hypocrites qui jouez avec les mecs en rut comme avec le feu. Fort habilement le plus souvent, mais des fois ça merde.

La jeune femelle comprend vite que le mâle qui bande ne se contrôle plus, et que manipuler son désir peut rapporter gros. Fillette à cinq ans sait déjà que Tonton bisous grosse bosse dans la culotte lui donnera des bonbons. Alors elle surveille l’apparition de la grosse bosse et remarque vite que jupette cuicuisses boubouge = grosse bosse = beaucoup bonbons. Alors elle cuicuisse boubouge pour bonbons à cinq ans. Et toute sa vie la salope cuicuisse boubouge pour bonbons. Elle se met sa chatte en valeur et part à la pêche aux grosses bosses. C’est facile, c’est amusant et ça peut rapporter gros. Écarte un peu les cuisses et il va te flatter, te supplier, être gentil, te rendre service, te payer la place au concert de LTNO même si ça risque de le faire passer pour un pédé dans sa cité. Il a grosse bobosse culotte comme Tonton et les bonbons tombent.

Bon je sais les filles, c’est bon pour l’ego et le budget d’avoir des mecs qui bandent autour. Mais des fois y’en a un qui a trop envie de te sauter. Il te donne tous ses bonbons et tu lui donnes pas ton cul. Tu croyais t’en sortir avec bizou-bizou mais, manque de pot, c’est le fils Dutroux. Il pète total les plombs et te nique en force.

Ouais, tous les mecs sont pas moitié hétéro moitié pédé comme Costes. Y’en a qui sont 100% chimpanzé. Ils te mordent au cou et ils te baisent.

D’ailleurs le Dutroux, si on fait bien les comptes, il a tout perdu pour les femelles. Il bandait à mort et a fait vraiment n’importe quoi. Il a creusé la cave de son pavillon six mois en sortant 150m3 de terre dans 30000 sacs Carrefour un par un ! Résultat, scoliose grave, à moitié paralysé du dos. Même pour violer, fallait que ça soit la fille qui bouge son cul ! Il a acheté une camionnette avec un chèque en bois pour transporter la princesse qu’il voulait violer. Résultat, interdit de chéquier dix ans ! Il va carrément se servir en salopes devant le lycée de son quartier. Forcément il est direct grillé par la traverseuse de gosses dans les clous. Heureusement, elle l’a pas dénoncé contre une cassette vhs. M’enfin bon, trop grave les risques qu’il prend pour trois gougouttes dans troutrou ! Complètement esclave de sa queue, victime de son désir, le Dutroux ! Il a cru à fond aux pubs à la télé que comme quoi le cul c’est la base de tout.

Putain Dutroux, hého, débandes mec ! T’as foutu toute ta vie en l’air pour baiser une meuf, c’est à dire en vrai pas un truc super cool à la télé, mais un ridicule va-et-vient (Tu t’es déjà vu en train de bouger ton cucul quand tu baises? Remate la vidéo à froid. Ca va te faire prendre conscience de ta connerie !). T’as foutu toute cette merde, chimpanzé en rut, pour juste bouger ton gros cul et gicler trois gougouttes ?!

Houba, houba ! Trop malin le Dutroux. Tu te crois total mâle viril et effectivement tu l’es total mâle, c’est à dire total con esclave du con.

Ok j’imagine... y’a l’excitation, les course à Castorama, l’enlèvement, le moment magique ou tu enlèves le slip. Ouais mais bon, y’a aussi la fatigue, la débandade, la déception, la prise de conscience après l’orgasme de l’arnaque du coït... Et la serpillière à passer dans la cave.

Tu secoues gougoutte ta queue molle devant l’enfant en larmes en sang... Tu remontes ton slip sperme sang froid sur tes couilles... Et maintenant tu sais que tu es esclave de l’enfant. Tu t’es fait piéger par la beauté de la Princesse, sa fausse innocence, l’odeur de son cul qui tenait la rue. Maintenant que t’as baisé le trou et débandé, tu te rends compte à quel point l’instinct chimpanzé, zizi qui rebande et recommande, t’as foutu dans la merde. Tu vas faire vingt ans au trou pour un trou, Dutroux! Et ça te rend dingue et tu lui casse grave la gueule à la petite. Quel gâchis ! Si jolie, si gentille...

Tu la démolis, furieux d’être pris au piège du violeur face à la loi et la punition. Et aussi parce que poids du péché tombe sur toi aussi vite que ta queue retombe.

Dutroux, tu débandes et redeviens chrétien. « Tu as péché! Tu as péché! ». La voix de Maman et les larmes de l’enfant te bouffent la tête. Et tu tapes comme un taré pour essayer d’effacer toutes traces du péché. Mais tu ne fais qu’aggraver traces de sang. Et tu vomis en lui défonçant la chatte à coups de pieds, alors que deux secondes avant tu la caressais dedans avec ta queue ! Faudrait savoir. Tu croyais trouver le paradis dans le sexe d'un ange et tu as trouvé l'enfer dans le vagin d'une mère. Rampe et crève, mâle, après l’orgasme !

Comme moi coupable malheureux après la branlette dans le sperme froid, Dutroux est malheureux coupable dans le sperme et le sang. Et le sang aggrave l’angoisse. Moi bon, je lave le slip et ça passe. Mais Dutroux, t’as beau laver le slip, il reste le cadavre. Le sang aboie, le sperme passe.

Tu as beau frapper et frapper et frapper, tu n’arriveras pas à cacher sous les coups très puissants ton impuissance de mâle en rut jouet du vagin.

Arrête de la frapper! Ça sert à rien. T’es foutu. C’est toi le mec. C’est toi la victime. Le vagin t’a poussé à féconder l’oeuf. Elle est fécondée et, même morte, elle a gagné. C’est pas les coups d’un pauvre singe désespéré qui vont renverser le rapport de force. L’oeuf commande et la queue bande.

A partir du moment où tu bandes, Dutroux, tu as perdu face à la femme. Même le plus dégueulasse des serial-killers, à partir du moment où tu tires dans le trou, tu rends hommage au Trou. C’est pas un massacre révolte de gosse qui casse son jouet après l’orgasme qui va inverser la hiérarchie. Elle fut la Reine et tu lui rendis hommage avec ta queue.

T’as beau te débattre en la tuant, tu t’es soumis, comme n’importe quel chimpanzé de base, au rituel de la vie.

Allez violeur, arrêtes de frimer ! Reconnais que t’es qu’un gros con de singe en train de bouger connement son gros cul va-et-vient. Chatte, chatte, chatte ! Ageu, ageu ! Tu baves... Mais à peine la queue dedans, tu sais bien que ça vaut pas le prix des chaînes à Castorama. Bon d’accord, après chatte, tu peux te faire bouche anus... Et après, bof... 37 degrés dans tous les trous. Tu pouvais te foutre la bite dans le cul, ça aurait fait la même sensation de chaussette sale.

Bon... T’as eu la bouche la chatte et l’anus comme dans les films de cul. T’es content ? Et maintenant tu fais quoi ? Tu lui baises le ventre à l’Opinel? Un peu d’imagination pour retarder le moment inéluctable de la débandade et du retour de l’angoisse. Tu l’as niquée à l’Opinel et ça te fait vaguement rebander. Encore une gougoutte ok. Cinq minutes de queue raide en plus grâce au sadisme. Mais plus tu retardes, plus le retour de l’angoisse sera violent.

Après l’orgasme à l’Opinel, bonjour la moquette ! Caca partout !

Caca partout de la cave au grenier. Ta vie n’est plus qu’un gros caca. En la baisant tu t’es fais grave baiser.

Dutroux, t’es un dégât collatéral du cul!

Depuis l’école primaire, c’est la torture. Est-ce que j’ai une grosse queue ? Qui c’est qu’a la plus grosse queue? Dans les pubs de Télécaca, tu vois la machine à aspirer la queue pour la rendre la plus grosse de la classe en deux semaines. Tu t’es acheté l’aspirateur à rendre ta queue la plus grosse de la classe en piquant le fric à Maman. Premier crime pour le culte du cul. Deux cents balles l’aspirateur à quéquette et tu chopes grave un oedème, et tu peux plus bander pendant trois mois ! Trois cents balles le magazine porno... (Cette fois t’as piqué le fric à Mémé). Tu jutes sur les pages, et après tu veux le relire et les pages sont collées, et les photos se déchirent et tu vois plus que la connasse qui tire la langue. Sa chatte collée est déchirée et tu peux plus te branler...

Après dix ans de branlette et angoisse « Je suis le seul puceau au monde », tu finis, complètement bourré, par foutre un doigt dans la chatte d’une meuf. Mais là, c’est plus cher : trois mille balles ! Ah, elle a bien fait boubouge cuicuisses bonbons, la salope ! T’as payé le concert de LTNO, le resto, l’essence pour 14 allers-retours entre chez toi et chez elle dans l’espoir de la sauter mais en vain. Elle t’as fait bizou-bizou et rentrée chez papa-maman. T’es rentré seul comme un con... Plus d’essence merde ! Ta caisse est tombée en panne. T’as marché à trois heures du mat le long de l’autoroute et t’avais grave la haine. Tellement la haine qu’en rentrant tu lui as laissé des menaces de mort sur son répondeur. Et t’as même pas réussi à te branler.

Dutroux franchement, dès le départ, t’étais grave mâle chimpanzé 100%, et c’est sur, les femelles allaient te faire galérer.

La femelle qui est un trou a besoin qu’on la remplisse. Elle a un trou dans le ventre mais aussi un trou dans la tête. Elle a pas de direction, pas de projet. Ouais, parce qu’un trou forcément ça peut qu’attendre. T’as déjà vu un trou dans le sable foncer dans une direction comme un ouf ?! Non. Eh bien un trou dans de la viande c’est pareil. Elle attend dans sa viande que quelqu’un lui remplisse le cul et la tête.

La queue, elle, forcément a une direction. Faut bien que tu bandes dans un sens. Tu bandes vers le haut, y’a pas à chier. Tu bandes pas en rond comme un con de trou. Et quand t’éjacules, ça gicle vers quelque part. Un mec, il suffit qu’il bande et il a une direction. Il bande et il est automatiquement prosterné vers la Mecque du cul. Vers la chatte, il bande. Il bande et automatiquement il a un projet. Son projet, c’est remplir un trou. Ça tombe bien! Justement, la femelle a un trou à remplir !

Tout le trip de la femelle, c’est de remplir le vide de sa vie avec de la queue de mec dans le cul et du désir de mec dans la tête. Tout ce qui pourra meubler le F1 de son cul et les chiottes de sa tête, elle adore.

Dutroux, je te dis, elle adore tes déclarations d’amour, tes supplications, les mille coups de fil et lettres d’amour. Et même tes masturbations désespérées pour son trou imaginé, elle adore... Plus tu galères pour elle, moins elle se sent trou vide.

Mais attention Dutroux. Derrière son cinéma « Viens mon chéri meubler le F1 de mon cul », la femelle a un grand projet. Toi t’es comme un fou, tu bandes tu violes, tu tues. Tu fonces dans toutes les directions. Tous les trous, toutes les bouches, tous les anus, toutes les chattes, tu veux te les faire en force.

Le mâle en rut calcule rien, mais la femelle calcule pour deux.

La femelle te laisse lui arracher le slip brutalement, te laisse gicler dans sa bouche et dans son cul, te laisse croire que tu domines. Mais tu n’es, Pénetrator, que l’outil de son grand dessein. Et son grand dessein, c’est qu’à la fin tu lui jutes sur l’oeuf. Elle se laisse malmener par toi et joue la victime du viol juste pour te faire croire que la baiser est la victoire du mâle, alors que c’est en secret le triomphe de la femelle fécondée par son esclave la bite bourdonnante.

La femelle est un trou avec un oeuf dedans. Elle n’est qu’un récipient. Le centre, le seul truc qui compte, c’est l’oeuf. La mission sur terre de la femelle boite d’oeufs, c’est de se faire juter sur l’oeuf pour assurer la survie de l’espèce. Son but, devoir et bonheur, c’est de piéger une queue de connard pour gicler sur l’oeuf. Elle l’attire avec slip sexy comme l’étiquette Bio sur les boites d’oeufs. Et parfum cache odeur de caca-fromage.

Et toi Dutroux, connard, t’es tombé dans le piège la bite la première !

Ah tu fais le fier-à-bras! Tu la coupes en morceaux après l’orgasme et la fous dans un sac-poubelle. Mais t’auras beau lui hacher le vagin menu, t’arriveras pas à séparer ton sperme de son oeuf dans ce bordel de sang de merde.

Tu jettes le boudin à la poubelle. Le vagin haché menu, le caca, le sang, et l’oeuf fécondé par ton sperme avec. T’espères te débarrasser des traces de ton crime avant l’arrivée des keufs, ok. Mais avoues, t’espères aussi te débarrasser de l’oeuf fécondé, preuve de la victoire de la femelle sur toi. Tu l’as violée tuée, ok, apparente victoire du mâle... Mais ce faisant, tu l’as fécondée, victoire certaine de la femelle.

Tu la jettes en morceaux dans dix sacs-poubelles... Mais l’oeuf fécondé est solide. Tu peux anéantir la femme, le récipient, mais pas le contenu, la vie. Même dans une poubelle, haché menu, la vie respire.

La femelle morte fécondée a baisé le mâle sur toute la ligne. Les keufs arrivent et tu te tapes vingt ans de taule avec médocs anti-branlette. Dans la poubelle on retrouve un bébé sorti on ne sait d’où, mais moi je sais que c’est l’oeuf fécondé par Dutroux.

Et elle, bienheureuse maman, monte au Ciel.

Résumé : Beaucoup copulent. Pas mal se branlent. Certains tuent.

Dutroux, t’as foutu toute cette merde pour tirer un coup. T’es trop impulsif comme mec ! Y’avait pas besoin de violer : un peu de patience et la femelle finit toujours pas dire oui. Nature désir la force à se faire féconder l’oeuf.

T’énerve pas ! Elles disent pas non parce qu’elles aiment pas ta queue. Au contraire. Elles disent non pour valoriser leur chatte à l’oeil de ta queue (l’oeil de la queue est au bout du gland). Elles disent non pour créer une pénurie de chattes et faire monter la bourse du cul. Plus la chatte est rare, plus elle vaut cher. Plus les mecs bandent et veulent la baiser. Et plus ils sont prêts à payer n’importe quoi pour la bourrer. T’imagines bien Dutroux que si la sortie du lycée était le self-service gratuit du cul dont tu rêves, la moule vaudrait plus rien. T’aurais même plus envie de la baiser et les oeufs pourriraient. Alors trois milliards de coquetiers spéculent sur trois milliards de mouillettes. Ouais je veux dire... en disant non, trois milliards de salopes font monter la pression dans six milliards de couilles. Et plus y’a de pression, plus ça va gicler profond sur l’oeuf.

Les couilles sont super pleines, le gland goutte, la queue dure fait mal. Dutroux et Costes foutent la pression aux salopes pour les baiser. Mais elles disent non merde ! La pression monte monte monte dans la queue et la tête de Dutroux et Costes. Faut que ça gicle merde, ou je tue ! Les filles disent toujours non pour que la pression monte encore. Elles prennent des risques. La tête du Dutroux en rut risque de péter grave serial-killer. La queue de Costes risque de péter connement éjaculation précoce.

Mais c’est le jeu immémorial. Dangereux et pervers. Les canes fuient devant les canards, les poules devant les coqs, etc... En fuyant la femelle excite l’instinct chasseur tueur du mec pour faire monter l’adrénaline et donc la force du jet dans son cul. Mais plus le chasseur est excité, plus il devient agressif et dangereux. L’impossibilité de baiser le trou qui s’agite devant sa queue le rend fou furieux. Des fois y’en a un qui pète les plombs et tue la pute. Pour assurer une meilleure fécondation de l’oeuf, la femelle joue avec sa peau. Pour assurer la survie de l’espèce, elle risque sa survie. Paradoxe de la vie : tuer pour aimer, mourir pour enfanter.

Bon finalement, le refus de baiser de la femelle n’étant qu’un jeu érotique destiné à faire monter la pression dans les couilles, quand le mec est à point, elle cède évidemment. Et le mec disons normal a droit à un petit coup dans le cul de la pondeuse.

Beaucoup copulent...

Mais pour les mecs border-line mou pédale comme Costes ou border-line dur de dur comme Dutroux, ça part en couille.

Ca part en couille pour le minable Costes : « Pfff je suis crevé ! Elle arrête pas de courir en zigzag la poule. Trop compliquée pour la baiser. Je lâche l’affaire. »

Pas assez de désir, pas assez de pression dans ma tête et ma queue. Et en plus, si elle dit oui, ça craint. J’ai peur du trou noir gluant, piège à bite. J’ai peur de l’oeuf qui m’attend. Alors je fuis loin du trou me branler dans mon trou.

Pas mal se branlent...

Quant à Dutroux... Vous connaissez la chanson... Elle dit non, elle dit non... La pression, la pression... Et d’un coup, poum ! Dutroux pète le bitomêtre et il la nique à mort!

Certains tuent...

Tu vois Dutroux, toi t’es trop psychopathe direct de brousse. Tu te les fais à l’ancienne. Tu les mords au cou et tu les encules. Mais dans la société grande surface chrétienne, ça se passe pas comme ça. Elle dit non? C’est pas grave, mec... Joue-la psycho-vicelard, pas psycho-lourd dingue. Fais semblant de comprendre : « C’est pas grave ma chérie, je comprends : tes règles, tes parents, ta mycose, faut que tu révise l’anglais »... Bisou-bisou et va te branler.

Retiens-toi, Dutroux, joue en finesse. T’en a rien à foutre de cette conne et de ses problèmes. Moi aussi j’ai envie de lui arracher son slip direct, de la sauter devant le lycée devant les profs jaloux et les mamans mouillées. Mais tu vois, je la joue psychopathe vicelard.. J’ai envie de la tuer cette pute qui joue avec ma queue raide, mais je fais genre bisou-bisou. De toute façon c’est sûr, elle va céder le jour de la pleine lune de son œuf.

Et puis moi, franchement tu vois, les nanas je les viole pas. C’est pas par respect, c’est même pas par calcul, c’est juste que j’ai pas la queue assez dure pour les éventrer.

Alors je les viole mentalement. Je lui parle d’amour et elle se laisse sauter. Viol mental de l’amour.... Elle est heureuse sous mon coït. Elle se croit aimée et elle jouit. Elle me donne son cul mais j’ai violé sa tête. Je te saute et je te jette. Et tu restes avec le sperme dans le ventre, les maladies et le bébé. Moi esclave de la queue ok, mais toi esclave de l’oeuf.

Finalement, mâles et femelles, violeurs et violées, tueurs et tuées, baiseurs et amoureuses, on est tous soumis à la loi de l’oeuf.

Sauf qu’esclave de l’oeuf ça dure neuf mois au moins, alors qu’esclave de la queue ça dure le temps de tirer mon coup et après je te jette salope. Et tu peux chialer tant que tu veux : « Salaud, tu m’as dis que tu m’aimais ». Je t’ai menti pour te sauter mais je risque rien. Le viol mental, c’est légal. Je risque pas vingt ans de taule sous médocs anti-branlette comme ce con de Dutroux. Je passe pas en force moi, je passe en souplesse. Bisou-bisou...

My name is Costes le psychopathe normal.

Dutroux, il est pas normal humain mais normal singe. La femelle, il la mord au cou et il l’encule. Après il tue parce qu’il sait qu’être un singe ici est un crime. Il tue car panique de se faire prendre et panique du péché.

Dutroux, fallait naître chimpanzé au Kenya ! T’aurais été la star du Parc. T’aurais mordu les fillettes au cou et enculé devant les caméras. Et les touristes t’auraient filé plein de cacahuètes. Mais ici les touristes qui te regardent mordre et enculer à la télé, et les médias qui vendent tes ébats exploits, ils sont pas reconnaissants. Ils bandent en te regardant baiser à l’ancienne et ils te foutent en cage. Parce qu’ici j’en veux pas de sale chimpanzé qui baise mes filles ok !?!

Dans la jungle, Dutroux, peut-être la petite guenon tu l’aurais juste enculée et lâchée du haut du palmier? Tu te serais pas fait chier à la tuer. Dans la jungle, enculer une petite guenon, c’est pas grave. Elle a mal au cul deux minutes. La vielle guenon jalouse râle cinq minutes que t’encules sa fille. Trois bananes et ça se tasse.

Mais devant l’Eglise, entre la Synagogue et la Mosquée, fais pas ça malheureux!

Même moi Costes, je te jure, je te chope, je te fous une balle dans la tête.

Parce que je suis très catholique en secret. Et je supporte pas le spectacle d’une queue de connard coincée dans les poils du cul d’une pute comme dans des barbelés.

Celui qui a été vaincu par la femelle au point de la violer et tuer, je l’achève.

Trop soumis à la loi de l’oeuf.

(Par Jean-Louis Costes, le 25 avril 2004)

cf. l'harcelé/-ée harceleur/-euse
cf. postsexuel