N'en jetons presque plus ! Trions, reprenons, détournons.
L'essentiel est presque bien dit et redit, en long, en large...
Reprenons serré, de travers, à travers.
Par les moyens d'avenir du présent. Pour le présent de l'avenir.
(OTTO)KARL

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2009-10-06

soyons bon joueur

Puisqu’il n’y a rien à faire, puisque nous sommes voués à la mort, soyons gais. Mais ne soyons pas dupes.
(E.I.) (merci à Ph.D.)

cf. les deux voix/voies de la conscience tragique
cf. l'idée philosophe de clément rosset
cf. de la joie tragique
cf. l'angle d'oreille
cf. l'en jeu

comment s'en sortir sans sortir

(H.L.)(O.K.) :: 4'45''::

> CHAPITRE : s'en sortir sans sortir
> chapitre : autoconditionnement

s'en sortir postmoderne

Si (...) j'ai plutôt titré cette postréalisation « l'absolument moderne », c'est aussi pour, nommer rimbaud, certes, mais dépasser son cas personnel et viser la définition autant que l'impasse de la modernité, dont rimbaud est le fleuron, sans doute indépassable. Mais passons.
(o.K.)

Proust est passé de passant à passeur. Rimbaud a fait l'inverse. Et l'alternative à tant de... modernisme romantisme ? Devenir postmoderne — selon ma définition, « in progress ».
Je ne me crois pas si naïf quant à mon emploi de la désignation et autodésignation « postmoderne » (sans aller jusqu'à « postmodernisme », justement). J'ai notion (de base) du débat autour de ce concept et de ce qu'il recouvre, accusé de n'être par exemple qu'une manifestation de plus (et « ultime » ?) de la modernité. Mais je pense que ce n'est pas le cas de ce que j'essaie de développer, c'est-à-dire aussi une redéfinition même de cette notion — notamment par le fait. Je sais et déplore que dans la confusion moderne et trop moderne émulation théorique le vocable postmoderne n'a pas eu le temps d'émerger qu'il est déjà galvaudé, voire disqualifié et conspué, mais justement j'essaie (cf. Montaigne) de le rafraîchir. Notez (sur mon blog) que par mesure de prudence, au cas où j'échouerais, je le dénomme plutôt « ottopostmoderne ». Quoi qu'il en soit je ne m'arrête pas à la querelle sur la « nomination », en effet, j'essaie de faire, d'oeuvrer comme je le sens, et viendra la nomination qu'on voudra, une fois sorti de notre marais — ultramoderne ?
Cela étant dit : ne pas, à tout prix, rompre avec la modernité ni chercher un vocable neuf, etc., n'est-ce pas déjà la preuve du non-moderne, du dépassement de la modernité, vers plus de maturité, n'est-ce pas déjà la preuve qu'une étape est franchie vers ce que j'appelle — de mes voeux et mes jeux — : le postmoderne ?
Enfin, « comment s'en sortir sans sortir ? » Je vous réponds : (peut-être) par le postmoderne, comme je l'entends et tente de le redéfinir, du moins essaie.

otto karl (à Nicolas Zurstrassen)

cf. devenez postmoderne
cf. postmoderne ?
cf. chapitre : s'en sortir sans sortir