N'en jetons presque plus ! Trions, reprenons, détournons. L'essentiel est presque bien dit et redit, en long, en large... Reprenons serré, de travers, à travers. Par les moyens d'avenir du présent. Pour le présent de l'avenir. (OTTO)KARL
Il est intéressant de remarquer que proust a le fait le chemin inverse : passé de passant à passeur. Et la solution à tout ça, le juste milieu : devenir postmoderne (comme je l'entends), peut-être.
Si pour ma part et à l'origine j'ai plutôt titré cette postréalisation « l'absolument moderne », c'est aussi pour, non seulement nommer rimbaud, mais dépasser son cas personnel et viser la définition autant que l'impasse de la modernité, dont rimbaud est le fleuron indépassable. Mais passons. Merci de cet intérêt grandissant, en tout cas. (En retour légitime et sincère je renvoie, de mon côté, à ce blog-ci (http://intercession.over-blog.org/article-32454935-6.html#anchorComment), foisonnant, passionnant et manifestement ami, depuis mon blog.) Cordialement.
ERRATUM et ajout : Il est intéressant de remarquer que proust A EFFECTUÉ le chemin inverse : passé de passant à passeur. Et la solution à tout ça, le juste milieu : devenir postmoderne (comme je l'entends), peut-être.
« Comment s'en sortir sans sortir ? » Je réponds donc : (peut-être) par le postmoderne — comme je l'entends.
— Quelles sont les différentes émissions qui sont mises bout à bout ici ? — « Mises bout à bout » c'est vite dit ! C'est scrupuleusement monté, micromonté, archimicromonté, remonté, trafiqué, bref entièrement réécrit, évidement ; en fait, (audiovisuellement) écrit, tout simplement ; à la manière documentaire, réappropriation... détourmement, quoi.
Il est intéressant de remarquer que proust a le fait le chemin inverse : passé de passant à passeur.
RépondreSupprimerEt la solution à tout ça, le juste milieu : devenir postmoderne (comme je l'entends), peut-être.
Si pour ma part et à l'origine j'ai plutôt titré cette postréalisation « l'absolument moderne », c'est aussi pour, non seulement nommer rimbaud, mais dépasser son cas personnel et viser la définition autant que l'impasse de la modernité, dont rimbaud est le fleuron indépassable. Mais passons.
RépondreSupprimerMerci de cet intérêt grandissant, en tout cas.
(En retour légitime et sincère je renvoie, de mon côté, à ce blog-ci (http://intercession.over-blog.org/article-32454935-6.html#anchorComment), foisonnant, passionnant et manifestement ami, depuis mon blog.)
Cordialement.
ERRATUM et ajout :
RépondreSupprimerIl est intéressant de remarquer que proust A EFFECTUÉ le chemin inverse : passé de passant à passeur.
Et la solution à tout ça, le juste milieu : devenir postmoderne (comme je l'entends), peut-être.
« Comment s'en sortir sans sortir ? »
Je réponds donc : (peut-être) par le postmoderne — comme je l'entends.
— Quelles sont les différentes émissions qui sont mises bout à bout ici ?
RépondreSupprimer— « Mises bout à bout » c'est vite dit ! C'est scrupuleusement monté, micromonté, archimicromonté, remonté, trafiqué, bref entièrement réécrit, évidement ; en fait, (audiovisuellement) écrit, tout simplement ; à la manière documentaire, réappropriation... détourmement, quoi.