(O.K.)
otto qui ? SOURCE
Écrire, c'est « donner notre réalité à la vérité, de qui nous la tenions, afin de redevenir dans son sein légers comme des rêves ».
(...) « Je veux recueillir mon néant à l'ombre d'une réalité digne de la lumière et forger de mes mains un objet qui efface mes traces. »
Un texte « serré et irréductible », si parfait qu'il ne semble pas « avoir été touché », un objet si parfait qu'il effacerait nos traces... Ne reconnaissons-nous pas ici la plus haute ambition de tout écrivain ?
(A.R.-G.)
ottoréf. (écho) : au fond, pouchkine, c'est moi