Il [André Bazin] était capable de dire « Le meilleur montage, c'est pas de montage du tout. » [Le réel...] oui, c'est ça... Sans coutures ! Alors qu'(...)Eisenstein (...) disait qu'il fallait non seulement qu'il y ait des coutures, mais qu'on les voie. Que la collure devait produire un choc. Passer d'une image à une autre, non pas par un effet de continuité plus ou moins chimérique ou falsifié, mais par une rupture choquante.
(A.R-.G.)
(A.R-.G.)