N'en jetons presque plus ! Trions, reprenons, détournons.
L'essentiel est presque bien dit et redit, en long, en large...
Reprenons serré, de travers, à travers.
Par les moyens d'avenir du présent. Pour le présent de l'avenir.
(OTTO)KARL
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L'essentiel est presque bien dit et redit, en long, en large...
Reprenons serré, de travers, à travers.
Par les moyens d'avenir du présent. Pour le présent de l'avenir.
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2016-11-28
2016-11-27
2016-11-25
2016-11-24
fade into you, ma(zzy) star
«... la chanteuse elle-même, d'une présence scénique incroyable, par une supplément de sensualité, un « figisme » ou hiératisme quasi inexpressif (les bras derrière le dos, d'enfant punie, dont elle a d'ailleurs le gabarit), assez dark et inquiétant, et une beauté, déjà... saisissante, mais une voix, une voix... dont le timbre et l'art (tout en suavité vibrante, lenteur et nonchalance) rappellent très nettement, mais 15 ans en avance, une actuelle Lana Del Rey. (Et, de fait, après vérification, je suis pas le premier à le dire !) » (/<.)
2016-11-21
Formule 1/2 + 1/2
Les gens ne restent plus aussi longtemps concentrés que par le
passé, c’est pourquoi beaucoup de sports cherchent à introduire des
formats plus courts. (...) Nous devons envisager de modifier le format actuel des Grands Prix [de Formule 1].
Je pense qu’il serait préférable d’avoir [au lieu d'une course d'une heure et demie] deux courses de 40 minutes,
espacées d’une interruption (...) pour permettre aux pilotes d’être
interviewés et aux équipes de travailler sur leurs voitures. (...) Cela serait attractif pour les téléspectateurs, pour les chaînes de
télévision, pour les sponsors et pour les annonceurs. Mais je ne sais
pas si nous aurons le courage de modifier le format actuel...
(B.E.)
2016-11-13
2016-11-09
notre cher Raoul Cou†ard, Karl
Un décloisonnement bouillonnant…
il « fait le tour du monde avec une caméra »…
… il pouvait tourner avec très peu de lumière, il était adroit avec la caméra portée à l’épaule, prêt à se dissimuler dans une boîte pour les prises de vues dans la rue.
« Les secrets techniques me semblaient grotesques (…). Pour moi l’image, c’était le regard. » (R.C.)
La légèreté sur le terrain, le style buissonnier et expérimental, la lumière blanche volontiers surexposée tranchent avec le formatage de l’époque. Baroudeur et grande gueule, Coutard se trouve en parfaite osmose avec le projet de la Nouvelle Vague, son jeu naturel et ses jeunes comédiens remuants pour lesquels il dit inventer « la lumière diffractée ».
[De ses images] « J’aimais leur liberté de ton (…), et surtout leur audace formelle, leur fluidité chaotique, les accidents et les surprises, et leur grande beauté (même si elle ne correspondait pas aux canons officiels). […] Coutard invente la lumière de cinéma moderne, diffuse, douce sur les visages, sensuelle. On ressent le grain de la peau. »
(C.G.)
il « fait le tour du monde avec une caméra »…
… il pouvait tourner avec très peu de lumière, il était adroit avec la caméra portée à l’épaule, prêt à se dissimuler dans une boîte pour les prises de vues dans la rue.
« Les secrets techniques me semblaient grotesques (…). Pour moi l’image, c’était le regard. » (R.C.)
La légèreté sur le terrain, le style buissonnier et expérimental, la lumière blanche volontiers surexposée tranchent avec le formatage de l’époque. Baroudeur et grande gueule, Coutard se trouve en parfaite osmose avec le projet de la Nouvelle Vague, son jeu naturel et ses jeunes comédiens remuants pour lesquels il dit inventer « la lumière diffractée ».
[De ses images] « J’aimais leur liberté de ton (…), et surtout leur audace formelle, leur fluidité chaotique, les accidents et les surprises, et leur grande beauté (même si elle ne correspondait pas aux canons officiels). […] Coutard invente la lumière de cinéma moderne, diffuse, douce sur les visages, sensuelle. On ressent le grain de la peau. »
(C.G.)
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