Plus que la mort, la maladie est le vrai scandale de la vie.
(O.K.)
Rien n´est plus radical que la ligne de partage entre les gens en bonne santé et les malades.
(C.T.)
... tout homme qui souffre est de la viande. La viande est la zone commune de l'homme et de la bête, leur zone d'indiscernabilité.
(G.D.)
cf. ab.
(O.K.)
Rien n´est plus radical que la ligne de partage entre les gens en bonne santé et les malades.
(C.T.)
... tout homme qui souffre est de la viande. La viande est la zone commune de l'homme et de la bête, leur zone d'indiscernabilité.
(G.D.)
cf. ab.
« Je suis morte, déjà, puisque je dois mourir »
RépondreSupprimerJe me crois en enfer, donc j'y suis.
RépondreSupprimer(A.R.)
Je vois. Les hommes sont bien dégueulasses, à l'avenant de la vie, quoi. Moi je ressors à peine d'une intoxication alimentaire ("ou" chimique — encore une fois). Enfin, sur la pente remontante, en apparence. Tout! je dis bien tout! est physiologique. L'empoisonnement du corps empoisonne tout le rapport individuel à la vie, toute la conscience de la vie. Rien à sauver. La souffrance (donc la maladie) (...) est une des voies d'accès au réel, réel inaccessible le reste du temps car dédoublé, et la pire qui soit, l'enfer est bien ici. Impossible qu'il y ait pire ailleurs, on n'y survivrait pas. Déjà, moi... vouloir survivre quand je suis malade, c'est décidément pas mon truc. Une aberration.
RépondreSupprimerMais bon, de là, reprenons l'histoire... On en était où, déjà ? Ah oui, la politique...
Qu'est-ce c'est :
RépondreSupprimerEtre sur terre ?
Qu'est-ce c'est :
Accompagner le soleil ?
Et puis encore :
Se baigner dans la rivière ?
Ce qui est clair
C'est avoir mal.
(Guillevic)