(merci à adèle de lepostier.fr)
Les cafés (...) c'était l'ouverture (...) à des possibilités d'imprévisible, à la douceur et au danger du temps perdu. Les cafés offrent des surprises analogues à celles des livres : vous parviennent les bouts de récits de vie, des remarques, des commentaires adressés à vous et aux autres, qui produisent sur vous un effet de vérité venue du dehors. Ouvrez un livre, entrez dans un café [nord-express !] et une parole se fait entendre qui n'est pas la vôtre, mais qui vous procure pareillement un ébranlement, une excitation mentale...
(C.T.)
cf. du nord-express
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