N'en jetons presque plus ! Trions, reprenons, détournons. L'essentiel est presque bien dit et redit, en long, en large... Reprenons serré, de travers, à travers. Par les moyens d'avenir du présent. Pour le présent de l'avenir. (OTTO)KARL
Alias Edgar : Il semble y avoir une nouvelle mode, de plus en plus envahissante, dans la webindustrie porno : les (soi-disant) débutantes ! « Ses premiers pas dans le porno ! », « elle débute ! », ou encore « j'ai 18 ans et je veux faire du porno ! » (pour ceux qui reconnaîtront la référence), ce qui présage théoriquement d'une dévalorisation imparable de l'actrice après le premier shoot. Génération pornostars kleenex, donc. Là aussi.
On vante même qu'elle donnerait tout pour sa première, wouaw ! Mais, pas très difficile, puisque cette génération-porno a été conditionnée pour baiser en mode porno dans le privé, dès le privé. Du privé au public, il y a donc pas grand écart, si je peux me permettre et je me permets. Elle donne tout quoi, la pauvre ? la misérable. Généralement, elle donne tout ce qu'elle a vu faire. Et rien de plus. C'est ça la misère.
Ce n'est plus que l'image d'une incarnation d'image. Car elle a vu faire ça où ? Dans le porno, pardi ! Bref, tout ça se mord la queue. Vicieusement. Comme un cercle. Mais pas de surprise sociologique, puisque, encore une fois, comme l'écrit marc augé : « il fut un temps où le réel se distinguait clairement de la fiction (...) la fiction copiait le réel. De nos jours, insensiblement, c'est l'inverse qui est en train de se produire : le réel copie la fiction. »
Je viens de croiser un exemple d'annonce. Ça nous coûterait combien de la voir (obéir à) « tout » donner, exposer toute sa misère de spectatrice ? Et spectatrice d'elle-même. 1 Euro ! (Si on en croit l'annonce !...)
Et les miséreux s'y abreuvent !...
Décidément, quelle misère de misère minable... dans laquelle on circule.
Alias Edgar :
RépondreSupprimerIl semble y avoir une nouvelle mode, de plus en plus envahissante, dans la webindustrie porno : les (soi-disant) débutantes ! « Ses premiers pas dans le porno ! », « elle débute ! », ou encore « j'ai 18 ans et je veux faire du porno ! » (pour ceux qui reconnaîtront la référence), ce qui présage théoriquement d'une dévalorisation imparable de l'actrice après le premier shoot. Génération pornostars kleenex, donc. Là aussi.
On vante même qu'elle donnerait tout pour sa première, wouaw ! Mais, pas très difficile, puisque cette génération-porno a été conditionnée pour baiser en mode porno dans le privé, dès le privé. Du privé au public, il y a donc pas grand écart, si je peux me permettre et je me permets. Elle donne tout quoi, la pauvre ? la misérable. Généralement, elle donne tout ce qu'elle a vu faire. Et rien de plus. C'est ça la misère.
Ce n'est plus que l'image d'une incarnation d'image. Car elle a vu faire ça où ? Dans le porno, pardi ! Bref, tout ça se mord la queue. Vicieusement. Comme un cercle. Mais pas de surprise sociologique, puisque, encore une fois, comme l'écrit marc augé : « il fut un temps où le réel se distinguait clairement de la fiction (...) la fiction copiait le réel. De nos jours, insensiblement, c'est l'inverse qui est en train de se produire : le réel copie la fiction. »
Je viens de croiser un exemple d'annonce. Ça nous coûterait combien de la voir (obéir à) « tout » donner, exposer toute sa misère de spectatrice ? Et spectatrice d'elle-même. 1 Euro ! (Si on en croit l'annonce !...)
Et les miséreux s'y abreuvent !...
Décidément, quelle misère de misère minable... dans laquelle on circule.