N'en jetons presque plus ! Trions, reprenons, détournons.
L'essentiel est presque bien dit et redit, en long, en large...
Reprenons serré, de travers, à travers.
Par les moyens d'avenir du présent. Pour le présent de l'avenir.
(OTTO)KARL

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2009-06-17

masturbaction postsexuelle

Diogène qui proposait la masturbation pour penser plus librement était déjà plus ou moins postsexuel ?
En tout cas, je pense que Le Branleur est une étape de plus vers le surhumain... (Etant bien entendu que si "l'homme est une chose à surmonter" (F.N.) la façon dont on le surmonte peut être à discuter...)
(PhD)
Se masturber pour penser et vivre plus librement implique de le faire en connaissance de causes ( : de faim) et de fins, surtout, et non sur le mode trivial de la frustration, du pis-aller. Non : masturbation solaire ! Libératrice. À fins postsexuelles.
(O.K.)
À défaut d'être en mesure de surmonter l'Homme-animal-sexuel que nous sommes de nos jours, la masturbation peut s'entreprendre comme une aide intime astucieuse, l'outil d'une postsexualité plus effective. Recours facile, mais humainement compréhensible, qui en tant que soupape pulsionnelle, exutoire, est à même d'aplanir, de rasséréner le terrain (personnel) d'élaborations et d'évolution postsexuelles.
(O.K.)
cf. l'harcelé/-ée harceleur/-euse
cf. postsexuel
cf. la loi de l'oeuf

2 commentaires:

  1. Un violeur ? Généralement un mec qui a négligé de se branler « le matin » — autrement dit, juste avant.
    (o.K.)

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  2. Ejac faciale ? Mine de rien, oui. Gâcher du sperme sera toujours plus postsexuel que de risquer de le faire fructifier.

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