la forme (...) de mes [«] écrits [»] présente une difficulté : de nos jours on n’accorde pas suffisamment de poids à cette forme. Un aphorisme, si bien frappé soit-il, n’est pas « déchiffré » du seul fait qu’on le lit ; c’est alors que doit commencer son interprétation, ce qui demande un art de l’interprétation. (...) Evidemment pour pouvoir pratiquer la lecture comme un art, une chose avant tout autre est nécessaire, que l’on a parfaitement oubliée de nos jours — il se passera donc encore du temps avant que mes écrits soient « lisibles » —, une chose qui nous demanderait presque d’être de la race bovine et certainement pas un « homme moderne », je veux dire : savoir ruminer…
(F.N. — GM 0§8)
cf. sur/de mes postréalisations
cf. mévoir ou mémoire
cf. à l'intellecteur parfait
cf. l'ascésure
(F.N. — GM 0§8)
cf. sur/de mes postréalisations
cf. mévoir ou mémoire
cf. à l'intellecteur parfait
cf. l'ascésure
... et c'est pas demain
RépondreSupprimerQue je suivrai leur droit chemin
Je suis d'la mauvaise herbe
Braves gens, braves gens
C'est pas moi qu'on rumine
Et c'est pas moi qu'on met en gerbes
Je suis d'la mauvaise herbe
Braves gens, braves gens
Je pousse en liberté
Dans les jardins mal fréquentés
La la la la la la la la
La la la la la la la la la