Jelly Roll Morton était le Schpountz du jazz. Le personnage de Marcel Pagnol, immortalisé par Fernandel, se présente comme le meilleur des acteurs avec une assurance invraisemblable. On se fout de sa gueule parce que, certain de réussir, il se croit l'égal des dieux, mais à la fin du film, qui retrouve-t-on bien placé dans l'Olympe ? Le Schpountz en personne ! L'histoire du jazz a donné raison à Jerry Roll Morton : il n'a pas cessé de s'autoproclamer le plus authentique pionnier du jazz… et c'était vrai ! (…)
(M.-E.N.)
Sur ses cartes de visite, on pouvait lire « Inventor of Jazz » (« inventeur du jazz »), « Originator of Stomp and Swing » (« créateur du stomp et du swing »), « World's Greatest Hot Tune Writer » (« le plus grand auteur de morceaux hot au monde ») et, plus de soixante ans après sa mort, bon nombre de critiques pensent désormais qu'il n'avait peut-être pas tort.
Bien sûr, il n'a pas tout inventé mais il a tout transformé...
(W.)
(M.-E.N.)
Sur ses cartes de visite, on pouvait lire « Inventor of Jazz » (« inventeur du jazz »), « Originator of Stomp and Swing » (« créateur du stomp et du swing »), « World's Greatest Hot Tune Writer » (« le plus grand auteur de morceaux hot au monde ») et, plus de soixante ans après sa mort, bon nombre de critiques pensent désormais qu'il n'avait peut-être pas tort.
Bien sûr, il n'a pas tout inventé mais il a tout transformé...
(W.)
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