N'en jetons presque plus ! Trions, reprenons, détournons.
L'essentiel est presque bien dit et redit, en long, en large...
Reprenons serré, de travers, à travers.
Par les moyens d'avenir du présent. Pour le présent de l'avenir.
(OTTO)KARL

> page d'accueil

2012-03-29

détestament

Si je mourais prématurément, qu'importe mon oeuvre vertigineusement inachevée. Car ce serait que la vie ne vaudrait décidément pas cet honneur, ne vaudrait pas le coup, il n'y aurait rien à regretter, car plus rien, rien de plus à désirer lui offrir – à cette saleté sans nom, de mon temps définitive.
(O.K.)

cf. déjeuner sur de l'herbe sous le pied dans la tombe
cf. mon épitaphe

8 commentaires:

  1. Quand faut-il être pour ?
    Que faut-il être encore ?
    [A.B.]

    RépondreSupprimer
  2. "[...]qui je suis. Au fond, on serait à même de le savoir, car je ne suis pas resté sans témoigner de moi. Mais le désaccord entre la grandeur de ma tâche et la petitesse de mes contem­porains s’est manifesté par ceci que l’on ne m’a ni entendu ni même vu. Je vis sur le crédit que je me suis fait à moi-même, et, de croire que je vis, c’est peut être là seulement un préjugé !…"
    (F.N.)

    RépondreSupprimer
  3. Moui...
    http://nordexpress.blogspot.fr/2009/04/ottocredit.html

    RépondreSupprimer
  4. Merci. Voilà qui m'apprendra à vous singer...

    RépondreSupprimer
  5. Mais où êtes-vous otto ? Votre hémiprésence manque à la sphère. Nouveaux horizons ? Répondez-moi.

    Un post-situationniste honteux.

    RépondreSupprimer
  6. Moins régulièrement, mais les publications par ici ont un peu cours encore. (Malgré, je sais, l'ingratitude du médium et de la place.) Seulement antidatées pour une part, et peut-être est-ce une mauvaise idée, me réservant les mois de février et mars 2012, en suite du mois de janvier 2012 (que je conclurai bientôt), comme cadre de publication à peu près thématique.
    Mais post-situationniste... De ma connaissance, alors ? « Répondez-moi », comme vous dites.

    RépondreSupprimer
  7. La vie serait cette saleté de mon temps définitive, irrécupérable.

    RépondreSupprimer