N'en jetons presque plus ! Trions, reprenons, détournons. L'essentiel est presque bien dit et redit, en long, en large... Reprenons serré, de travers, à travers. Par les moyens d'avenir du présent. Pour le présent de l'avenir. (OTTO)KARL
Je te souhaite l'équilibre du féminin et masculin pour 2013 ou leurs déséquilibres afin que tu continues à danser le tango et nous faire profiter de tes leçons de danse ? BONNE ANNÉE à toi, le meilleur pour toi, Karine
Merci. Également. (De retour sur la toile ? En grande pompe ?) À c'T'ô K' si on dédie K. ce... http://nordexpress.blogspot.fr/2013/01/k-lit-graphie-t-pour-toutes.html
Rire ! Contente de te lire ! Je viens de voir la déliK T scène ! Grand sourire. Tu as mon nouveau mail avec ce commentaire ? Au plaisir de te lire et d'échanger. Tu te rends compte ? Faut presque plus rien jeter, alors surtout pas les mots !! Échangeons donc. Vraiment contente de voir que tu es en corps, envie. K
Pas de nouveau mail, mais peut-être sur ton site. Seulement ne jetons plus de mots, justement, ou le moins possible. Ici, place à Dr Otto plus qu'à Mister Karl, en cette période. Il n'est plus temps – n'en jetons plus non plus, ou le moins possible. Sinon par les oeuvres, donc, et la vie concrète. Salutations !
[Comprise par qui ?] [Cette postréalisation] est tellement un mélange de philosophie et de poésie... (...) [Comprise ?] Compréhension autant intellectuelle que poétique, j'espère. Parce que sur ce plan, c'est assez profond, assez heureux. Rapport homme-femme... et à quel moment sont placés les mots, etc. Et puis, n'est-ce pas assez génial de faire une dédicace « à margaux » en utilisant et détournant une langue étrangère, pour lui faire prononcer la dédicace mais purement phonétiquement ? (...) Et de manière suggestive, en plus : « À margaux, margaaaux... ». Par une langue asiatique venue d'une voix masculine traduite par une voix féminine, rapport homme-femme, et la danseuse qu'on voit est elle-même asiatique, entremêlée à un garçon, rapport homme-femme, qui finalement se dissocient mais pour s'associer à la danse, ensemble, et elle portée par lui mais la hiérarchie « n'a pas d'importance », et... au moment de leur sortie du cadre, c'est-à-dire d'entrée dans l'intimité et qu'on ne sait plus ce qu'ils font... on entend : « le rapport sexuel n'existe pas ». (...) Enfin bref, un jour, des gens auront analysé tout ça. Car : etc. ! Et jusqu'au titre, bien sûr ! « N'importe le rapport, seule la rencontre », où on entend notamment : « n'importe quel rapport, qu'importe, seule la rencontre COMPTE », mais sous forme condensée, suggestive, ouverte, bref poétique – puissante. Mais un jour... Mais pendant ce temps... Mais bon, bref...
Je te souhaite l'équilibre du féminin et masculin pour 2013 ou leurs déséquilibres afin que tu continues à danser le tango et nous faire profiter de tes leçons de danse ? BONNE ANNÉE à toi, le meilleur pour toi, Karine
RépondreSupprimerMerci. Également. (De retour sur la toile ? En grande pompe ?)
RépondreSupprimerÀ c'T'ô K' si on dédie K. ce...
http://nordexpress.blogspot.fr/2013/01/k-lit-graphie-t-pour-toutes.html
Rire ! Contente de te lire ! Je viens de voir la déliK T scène ! Grand sourire. Tu as mon nouveau mail avec ce commentaire ? Au plaisir de te lire et d'échanger. Tu te rends compte ? Faut presque plus rien jeter, alors surtout pas les mots !! Échangeons donc. Vraiment contente de voir que tu es en corps, envie. K
SupprimerPas de nouveau mail, mais peut-être sur ton site. Seulement ne jetons plus de mots, justement, ou le moins possible. Ici, place à Dr Otto plus qu'à Mister Karl, en cette période. Il n'est plus temps – n'en jetons plus non plus, ou le moins possible. Sinon par les oeuvres, donc, et la vie concrète. Salutations !
Supprimer[Comprise par qui ?] [Cette postréalisation] est tellement un mélange de philosophie et de poésie...
RépondreSupprimer(...)
[Comprise ?] Compréhension autant intellectuelle que poétique, j'espère. Parce que sur ce plan, c'est assez profond, assez heureux. Rapport homme-femme... et à quel moment sont placés les mots, etc. Et puis, n'est-ce pas assez génial de faire une dédicace « à margaux » en utilisant et détournant une langue étrangère, pour lui faire prononcer la dédicace mais purement phonétiquement ? (...) Et de manière suggestive, en plus : « À margaux, margaaaux... ». Par une langue asiatique venue d'une voix masculine traduite par une voix féminine, rapport homme-femme, et la danseuse qu'on voit est elle-même asiatique, entremêlée à un garçon, rapport homme-femme, qui finalement se dissocient mais pour s'associer à la danse, ensemble, et elle portée par lui mais la hiérarchie « n'a pas d'importance », et... au moment de leur sortie du cadre, c'est-à-dire d'entrée dans l'intimité et qu'on ne sait plus ce qu'ils font... on entend : « le rapport sexuel n'existe pas ». (...)
Enfin bref, un jour, des gens auront analysé tout ça. Car : etc. !
Et jusqu'au titre, bien sûr ! « N'importe le rapport, seule la rencontre », où on entend notamment : « n'importe quel rapport, qu'importe, seule la rencontre COMPTE », mais sous forme condensée, suggestive, ouverte, bref poétique – puissante. Mais un jour...
Mais pendant ce temps...
Mais bon, bref...
http://www.dailymotion.com/video/xjzd1_merci-docteur-o_fun#.URskj_IZiIY
RépondreSupprimerOui par mon site D'au©teur Otto, onglet Kontact.
Belle journée docte O !