J'ai laissé là-bas dans les remous d'une hélice le dégoût et la haine / Et j'ai laissé là-bas le facile d'être triste en pensant à toi (...) / Il me suffisait de plonger dans mon coeur / Une main avide de magnifiques douleurs / Pour fournir ma boucherie d'une viande si tendre / Qu'au souvenir de ton icône j'en faisais l'offrande / (...)
Et j'ai laissé là-bas les couteaux dans leur plaie / (...) Et j'ai laissé là-bas ma peine à jamais.
(M.S.)
Souffrir est une faiblesse, lorsqu’on peut s’en empêcher et faire quelque chose de mieux. Exhaler les souffrances d’une splendeur non équilibrée, c’est prouver, ô moribonds des maremmes perverses ! moins de résistance et de courage, encore.
(I.D.)
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