Sollers n’écrit pas sur Nietzsche, ou Breton, ou Céline, ou Sade, ou Saint-Simon. Il trace le portrait d’un [artiste] global, qui porte des noms différents mais qui n’est jamais que la même pomme vue sous d’autres angles, comme chez Cézanne. Rêve, génial d’ailleurs, et visionnaire, pour le coup, d’un [artiste] unique, du seul [artiste] qui serait au monde et qui s’appellerait, selon les heures du jour et de la nuit, selon les temps de gloire ou d’obscurité, Nietzsche, Breton, Céline, Sade, Saint-Simon. Et puis quand même aussi Sollers.
(D.J.)
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