N'en jetons presque plus ! Trions, reprenons, détournons. L'essentiel est presque bien dit et redit, en long, en large... Reprenons serré, de travers, à travers. Par les moyens d'avenir du présent. Pour le présent de l'avenir. (OTTO)KARL
— Ben, l'indice était dans ma façon de te l'introduire, cette équation. Je vais pas le refaire, mais... 1) Pas d'âme-soeur fusionnelle, deux individus, deux solitudes : 1 + 1 2) Se rencontrent, se font vibrer l'un l'autre, se démultiplie mais toujours dans leur individualité solitaire (évidemment ! ontologique !) : 1 x 1 3) Résultat de la rencontre, de l'opération : 1² + 1² Autrement dit, les deux en ressortent enrichis, de soi et de l'autre, toujours dans leur individualité solitaire, mais démultipliée par cet échange, sans que ça n'altère pour autant leur chiffre (au sens aussi d'énigme), leur solitude, mais comme enrichie d'elle-même, par l'autre.
1 +1 = 1, c'est l'idée du couple fusionnel, la théorie de l'âme-soeur, de la moitié, toute cette connerie-là ! 1+1 = 2, alors ? sauf que dans "2" il y a aussi une fusion, et l'idée de fusion, de fusion dans un seul chiffre, déjà. Alors non ! Erreur mathématique, certes, mais (on dit bien, comme équation représentant l'effet du montage (audiovisuel) "1 + 1 = 3", sans parler du "2 +2 = 5", cf. radiohead), alors pour moi : 1 +1 = 1 x 1 = Echange, vibration réciproque, dynamisme, contrairement au bien plus statique "1 + 1" Résultat de cette opération : 1 x 1 = 1² + 1² Or, effectivement, même mathématiquement, à condition de passer sur le processus somme toute magique de la relation (1 x 1), l'équation est juste, et très significative : 1 + 1 = 1² + 1² Enfin, bref. Tu vois... Tu vois ?
Extrait : C'est déjà ça de pris, ce que vous avez vécu — même si ça te semble pas assez, donc frustrant. Mais vous en êtes déjà au 1² + 1², de par ce que vous avez vécu, même si c'est un trop petit ² pour toi, et je comprends vraiment. ...
La vaginalisme, plus simplement et généralement ? L'épanouissement égoïste réciproque, symbiotique et proportionnel. Quand/que l'épanouissement de l'un entraîne l'épanouissement proportionnel de l'autre, et réciproquement. (o.K.)
« C’est lorsque chaque homme cherche avant tout l’utile propre qui est le sien que les hommes sont le plus utiles les uns aux autres. Car plus chacun cherche l’utile qui est le sien et s’efforce de se conserver, plus il est doué de vertu, ou ce qui revient au même, plus grande est la puissance dont il est doué pour agir selon les lois de sa nature, c’est-à-dire pour vivre sous la conduite de la Raison. Or c’est lorsque les hommes vivent sous la conduite de la Raison qu’ils s’accordent le mieux par nature. Donc les hommes sont les plus utiles les uns aux autres, lorsque chacun cherche avant tout l’utile qui est le sien. » (Spinoza, Éthique IV, proposition XXXV, corollaire 2) (Merci à DocMango)
SYNERGIE (1778) Du grec ancien συνεργία, sunergia, « coopération », lui-même de συνεργός, sunergos, « collaborateur, collègue de travail ».
- Action où l’effet cumulatif de deux composants d’un mélange est plus important que la somme des effets individuels des composants. - (Physiologie) Association, action coordonnée de deux organes pour l’accomplissement d’une même fonction. - (Par extension) Coopération, interaction bénéficiaire, émulation.
— Ben, l'indice était dans ma façon de te l'introduire, cette équation. Je vais pas le refaire, mais...
RépondreSupprimer1) Pas d'âme-soeur fusionnelle, deux individus, deux solitudes : 1 + 1
2) Se rencontrent, se font vibrer l'un l'autre, se démultiplie mais toujours dans leur individualité solitaire (évidemment ! ontologique !) : 1 x 1
3) Résultat de la rencontre, de l'opération : 1² + 1²
Autrement dit, les deux en ressortent enrichis, de soi et de l'autre, toujours dans leur individualité solitaire, mais démultipliée par cet échange, sans que ça n'altère pour autant leur chiffre (au sens aussi d'énigme), leur solitude, mais comme enrichie d'elle-même, par l'autre.
1 +1 = 1, c'est l'idée du couple fusionnel, la théorie de l'âme-soeur, de la moitié, toute cette connerie-là !
1+1 = 2, alors ?
sauf que dans "2" il y a aussi une fusion, et l'idée de fusion, de fusion dans un seul chiffre, déjà. Alors non ! Erreur mathématique, certes, mais (on dit bien, comme équation représentant l'effet du montage (audiovisuel) "1 + 1 = 3", sans parler du "2 +2 = 5", cf. radiohead), alors pour moi :
1 +1 = 1 x 1
= Echange, vibration réciproque, dynamisme, contrairement au bien plus statique "1 + 1"
Résultat de cette opération :
1 x 1 = 1² + 1²
Or, effectivement, même mathématiquement, à condition de passer sur le processus somme toute magique de la relation (1 x 1), l'équation est juste, et très significative :
1 + 1 = 1² + 1²
Enfin, bref. Tu vois...
Tu vois ?
Extrait :
RépondreSupprimerC'est déjà ça de pris, ce que vous avez vécu — même si ça te semble pas assez, donc frustrant. Mais vous en êtes déjà au 1² + 1², de par ce que vous avez vécu, même si c'est un trop petit ² pour toi, et je comprends vraiment.
...
La vaginalisme, plus simplement et généralement ? L'épanouissement égoïste réciproque, symbiotique et proportionnel. Quand/que l'épanouissement de l'un entraîne l'épanouissement proportionnel de l'autre, et réciproquement.
RépondreSupprimer(o.K.)
Réessais de définition :
RépondreSupprimerÉpanouissement individuel interdépendant par égoïsme réciproque / par le jeu d'égoïslme réciproques.
Épanouissement individuel symbiotique (synchrone) par un jeu d'égoïsmes réciproques.
Etc Etc.
C'est « le gagnant-gagnant ».
RépondreSupprimer(ségolène royal)
« C’est lorsque chaque homme cherche avant tout l’utile propre qui est le sien que les hommes sont le plus utiles les uns aux autres. Car plus chacun cherche l’utile qui est le sien et s’efforce de se conserver, plus il est doué de vertu, ou ce qui revient au même, plus grande est la puissance dont il est doué pour agir selon les lois de sa nature, c’est-à-dire pour vivre sous la conduite de la Raison. Or c’est lorsque les hommes vivent sous la conduite de la Raison qu’ils s’accordent le mieux par nature. Donc les hommes sont les plus utiles les uns aux autres, lorsque chacun cherche avant tout l’utile qui est le sien. »
RépondreSupprimer(Spinoza, Éthique IV, proposition XXXV, corollaire 2) (Merci à DocMango)
SYNERGIE
RépondreSupprimer(1778) Du grec ancien συνεργία, sunergia, « coopération », lui-même de συνεργός, sunergos, « collaborateur, collègue de travail ».
- Action où l’effet cumulatif de deux composants d’un mélange est plus important que la somme des effets individuels des composants.
- (Physiologie) Association, action coordonnée de deux organes pour l’accomplissement d’une même fonction.
- (Par extension) Coopération, interaction bénéficiaire, émulation.