L'âme aristocratique accepte le fait de son égoïsme sans en faire un problème, sans y introduire non plus un quelconque sentiment de dureté, de rigueur, d'arbitraire ; elle y voit plutôt un sentiment qui a peut-être sa racine dans l'ordre des choses : si elle voulait lui chercher un nom, elle dirait sans doute que « c'est la justice même ». (...) L'âme noble donne comme elle prend, mue par l'instinct passionné de réciprocité qui réside en son tréfonds.
(F.N. — PDBM §265)
cf. empereur-né
cf. de ceux qui rendent content
Mon ange, je t'ai puni(e) à tant me sacrifier. Icône idolâtrée...
RépondreSupprimer(alain bashung)