(P.S.)(O.K.) :: 3'17''::
Note : Ah! si j'avais connu Mme de Warens à seize ans et Mme d'Houdetot à quarante-cinq... (...) Ce qui manque aux curés, charles, ce sont les femmes. Oh! pas comme tu l'entends. Nous sommes condamnés à la pire caricature des femmes, les dévotes.
(J.P.)
Ineffable torture où il a besoin de toute la foi, de toute la force surhumaine, où il devient entre tous le grand malade, le grand criminel, le grand maudit, — et le suprême Savant — Car il arrive à l’inconnu ! Puisqu’il a cultivé son âme, déjà riche, plus qu’aucun ! Il arrive à l’inconnu, et quand, affolé, il finirait par perdre l’intelligence de ses visions, il les a vues ! Qu’il crève dans son bondissement par les choses inouïes et innombrables : viendront d’autres horribles travailleurs ; ils commenceront par les horizons où l’autre s’est affaissé !
(A.R.)
cf. ottoportrait en devenir
cf. on par...
cf. système de pure débauche
...
Il suffit de proférer un mensonge, il suffit de dire à une femme charmante et peut-être unique au monde, et pour laquelle j’ai l’amitié la plus passionnée : Je t’aime, moi qui ne sais pas ce que c’est qu’aimer d’amour. Elle passerait la journée à me faire un crime de l’absence de ces transports qui me sont inconnus. La Marietta, au contraire, qui ne voit pas dans mon cœur et qui prend une caresse pour un transport de l’âme, me croit fou d’amour, et s’estime la plus heureuse des femmes.
RépondreSupprimer"Dans le fait je n’ai connu un peu de cette préoccupation tendre qu’on appelle, je crois, l’amour, que pour cette jeune Aniken de l’auberge de Zonders, près de la frontière de Belgique."
(Stendhal, la chartreuse de parme, L1, chp. 13)