Le principe de rendement est le principe de réalité d'une société capitaliste fondée sur la résignation, la falsification des instincts et la répression des potentialités humaines. L'espoir d'une libération se trouve dans la transformation de la sexualité (...) et l'abolition du travail aliéné.
(...) La tolérance envers des idées qui servent le système de domination et d'oppression est une dénaturation du concept de tolérance : Marcuse oppose la vraie tolérance qui est nécessairement émancipatrice à une perversion opportuniste de l'idée de tolérance qu'il qualifie de "tolérance répressive". (...) Pour Marcuse, " Une des réalisations de la civilisation industrielle avancée est la régression non-terroriste et démocratique de la liberté - la non-liberté efficace, lisse, raisonnable qui semble plonger ses racines dans le progrès technique même."
Contrairement à Freud qui voyait dans le principe de réalité la nécessité de la sublimation répressive des désirs, Marcuse - suite à la lecture du jeune Marx - [critique le] principe de réalité répressif qui n'est autre que le principe de réalité de la société en place.
[Or] la répression du désir inhérente à toute culture (par le principe de réalité soumis aux exigences sociales : cf. Freud, Malaise dans la civilisation) est allée au-delà du nécessaire pour répondre à de faux besoins (principe de rendement, faux rêves de la publicité,...)
[Marcuse] préconise l'éclosion des désirs, la transformation de la sexualité(...), l'abolition du travail aliéné et l'avènement d'une science et d'une technique nouvelles qui seront au service de l'homme.(...)
(W.)
La machine est une esclave qui sert à faire d’autres esclaves...
(H.M.)
On peut parler d'une triple alliance, politique, économique et cybernétique, susceptible d’« auto-organiser » les potentialités (...) humaines...
(G.C.)
Combien il est doux d’obéir, lorsque nous pouvons réaliser le bonheur, d’être convenablement déchargés, par de sages et dignes guides, de la pesante responsabilité d’une direction générale de notre conduite.
(H.M.)
cf. l'éthique hacker
(...) La tolérance envers des idées qui servent le système de domination et d'oppression est une dénaturation du concept de tolérance : Marcuse oppose la vraie tolérance qui est nécessairement émancipatrice à une perversion opportuniste de l'idée de tolérance qu'il qualifie de "tolérance répressive". (...) Pour Marcuse, " Une des réalisations de la civilisation industrielle avancée est la régression non-terroriste et démocratique de la liberté - la non-liberté efficace, lisse, raisonnable qui semble plonger ses racines dans le progrès technique même."
Contrairement à Freud qui voyait dans le principe de réalité la nécessité de la sublimation répressive des désirs, Marcuse - suite à la lecture du jeune Marx - [critique le] principe de réalité répressif qui n'est autre que le principe de réalité de la société en place.
[Or] la répression du désir inhérente à toute culture (par le principe de réalité soumis aux exigences sociales : cf. Freud, Malaise dans la civilisation) est allée au-delà du nécessaire pour répondre à de faux besoins (principe de rendement, faux rêves de la publicité,...)
[Marcuse] préconise l'éclosion des désirs, la transformation de la sexualité(...), l'abolition du travail aliéné et l'avènement d'une science et d'une technique nouvelles qui seront au service de l'homme.(...)
(W.)
La machine est une esclave qui sert à faire d’autres esclaves...
(H.M.)
On peut parler d'une triple alliance, politique, économique et cybernétique, susceptible d’« auto-organiser » les potentialités (...) humaines...
(G.C.)
Combien il est doux d’obéir, lorsque nous pouvons réaliser le bonheur, d’être convenablement déchargés, par de sages et dignes guides, de la pesante responsabilité d’une direction générale de notre conduite.
(H.M.)
cf. l'éthique hacker
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