Alors parmi tous ces mensonges, ces échecs, pourquoi s'encombrer. / Il y a tant d'amour à donner. / Viens, je vais te présenter... / Que dis-tu d'un ménage à trois ? / — Pourquoi pas.
(D.A.)
Seul(e), c'est la solitude, à deux c'est la folie, à trois commence la société. Un, deux, trois : soleil ?
(O.K.)
cf. au fond, nietzsche, c'est moi
cf. ottoportrait en devenir
cf. le crime pass...
cf. extension du domaine de l'amour
(D.A.)
Seul(e), c'est la solitude, à deux c'est la folie, à trois commence la société. Un, deux, trois : soleil ?
(O.K.)
cf. au fond, nietzsche, c'est moi
cf. ottoportrait en devenir
cf. le crime pass...
cf. extension du domaine de l'amour
Extrait de correspondance :
RépondreSupprimerDonc c'est vraiment pour expérimenter une alternative au couple, qui soit non pas la solitude, mais qui aille dans l'autre sens : la société (au sens positif, électif). Une micro-société, micro-communauté.
(o.K.)
Bien que barthes rappelle « le diction "deux c'est l'intimité, trois c'est la foule" : deux c'est le couple, trois c'est groupe. »
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