N'en jetons presque plus ! Trions, reprenons, détournons. L'essentiel est presque bien dit et redit, en long, en large... Reprenons serré, de travers, à travers. Par les moyens d'avenir du présent. Pour le présent de l'avenir. (OTTO)KARL
Quand j'étais enfant, (...) nous ne devions pas nous laver, car mon père était médecin, hygiéniste, et pensait que la crasse nous protégeait des maladies. (christian boltanski, 06/01/2010)
Les cafards, insectes à jamais associés aux immondices, pourraient contribuer à de nouveaux traitements contre les bactéries résistantes, selon une étude publiée lundi 6 septembre 2010 par des chercheurs britanniques qui ont découvert des substances aux propriétés antibiotiques inattendues chez ces insectes. (...) Pour Simon Lee, de l'école de médecine et de science vétérinaire de l'université britannique, cette découverte était prévisible. 'Les insectes vivent souvent dans de très mauvaises conditions sanitaires et d'hygiène, dans des environnements où ils sont exposés à un grand nombre de bactéries différentes. Il est donc logique qu'ils aient développé des moyens de se protéger contre les micro-organismes', estime-t-il.
Le quotidien américain cite le livre « The Dirt on Clean : An Unsanitized History », de Katherine Ashenburg, un plaidoyer populaire en faveur d'une hygiène « à la Française » (c'est-à-dire pour se laver moins).
Le livre remarque à juste titre que le temps où l'on travaillait tous à la ferme est révolu. C'est un des paradoxes de la vie moderne de se laver autant alors qu'on n'a jamais eu aussi peu besoin de le faire.
Et qu'on ne se plaigne pas d'être plus vulnérables aux bactéries, ou d'avoir la peau trop sèche, ou de plus en plus d'eczéma. A force de trop l'astiquer, la peau ne joue plus son rôle protecteur, rappellent les dermatologues.
Outre la répartition géographique des pollens et les habitudes de consommation, les experts pointent du doigt une diversification trop précoce de l’alimentation des tout-petits et… un excès d’hygiène. «Nous savons que les personnes les mieux protégées contre les allergies sont celles qui ont grandi dans un environnement où l’on est exposé très tôt aux bactéries. Idéalement, il faudrait vivre dans une famille nombreuse, à la campagne, avec des animaux de ferme…» conclut le Dr Eigenmann.
Quand j'étais enfant, (...) nous ne devions pas nous laver, car mon père était médecin, hygiéniste, et pensait que la crasse nous protégeait des maladies.
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Les cafards, insectes à jamais associés aux immondices, pourraient contribuer à de nouveaux traitements contre les bactéries résistantes, selon une étude publiée lundi 6 septembre 2010 par des chercheurs britanniques qui ont découvert des substances aux propriétés antibiotiques inattendues chez ces insectes.
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Pour Simon Lee, de l'école de médecine et de science vétérinaire de l'université britannique, cette découverte était prévisible. 'Les insectes vivent souvent dans de très mauvaises conditions sanitaires et d'hygiène, dans des environnements où ils sont exposés à un grand nombre de bactéries différentes. Il est donc logique qu'ils aient développé des moyens de se protéger contre les micro-organismes', estime-t-il.
Le quotidien américain cite le livre « The Dirt on Clean : An Unsanitized History », de Katherine Ashenburg, un plaidoyer populaire en faveur d'une hygiène « à la Française » (c'est-à-dire pour se laver moins).
RépondreSupprimerLe livre remarque à juste titre que le temps où l'on travaillait tous à la ferme est révolu. C'est un des paradoxes de la vie moderne de se laver autant alors qu'on n'a jamais eu aussi peu besoin de le faire.
Et qu'on ne se plaigne pas d'être plus vulnérables aux bactéries, ou d'avoir la peau trop sèche, ou de plus en plus d'eczéma. A force de trop l'astiquer, la peau ne joue plus son rôle protecteur, rappellent les dermatologues.
Outre la répartition géographique des pollens et les habitudes de consommation, les experts pointent du doigt une diversification trop précoce de l’alimentation des tout-petits et… un excès d’hygiène. «Nous savons que les personnes les mieux protégées contre les allergies sont celles qui ont grandi dans un environnement où l’on est exposé très tôt aux bactéries. Idéalement, il faudrait vivre dans une famille nombreuse, à la campagne, avec des animaux de ferme…» conclut le Dr Eigenmann.
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