Le poète n’écrit pas pour avoir un public ou à cause des rentes que lui vaudra peut-être son livre. (...) Il a découvert « quelque chose » qui ouvre en lui l’impossibilité de vivre sans cela.
(M.d.C.)
cf. notre besoin primaire de représentation
cf. EN PHrASE
cf. du bénéfice d'avoir écrit
cf. henri, tome A
cf. pourquoi écrire quand même
(M.d.C.)
cf. notre besoin primaire de représentation
cf. EN PHrASE
cf. du bénéfice d'avoir écrit
cf. henri, tome A
cf. pourquoi écrire quand même
Moi j'écris pour le pognon !
RépondreSupprimermais j'en donne pour son argent. Sans mentir.
Si si, ça existe aussi ça, vouloir faire de l'argent sans tapiner, c'est l'artisan.