N'en jetons presque plus ! Trions, reprenons, détournons.
L'essentiel est presque bien dit et redit, en long, en large...
Reprenons serré, de travers, à travers.
Par les moyens d'avenir du présent. Pour le présent de l'avenir.
(OTTO)KARL

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2009-11-02

notre besoin primaire de représentation


(B.C.) :: 2'30''::

cf. EN PHrASE
cf. du bénéfice d'avoir écrit
cf. du vécu, l'existence
cf. un(e) proche s'éteint, un soleil...
cf. fuir l'inhibition de l'action

7 commentaires:

  1. Red Lanar :
    C'est très bien expliqué, mais le choix de ce film pour illustrer est déjà révélateur que le rituel n'est pas dans nos sociétés robotisées et sophistiquées. Vous avez choisi un pays de l'est où le rituel social est encore vivant.

    Mais quand on parle d'art, dans notre système marchand, il faut aussi signaler que l'art est colonisé et que les peuples d'occident riche en sont dépossédés. La médiation culturelle est mortifère. La négation de la mort par la société de consommation. Et s'il faut le dire c'est que l'impérialisme occidental est le modèle mondial qui risque fort de gagner toute la planète, à un degré pas forcément total mais suffisant pour effacer ces moyens de sublimation un peu partout.

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  2. Si vous me connaissiez un tant soit peu sinon mieux, vous sauriez que ce n'est surtout pas à moi qu'il faut l'apprendre. Mais à des internautes, pourquoi pas. Merci pour eux. Et de ma part, aussi, moi qui rejette et conspue depuis 10 ans le milieu de l'«art» culturel, cultureux (occidental) et son imposture corruptrice, contrebandière, «mortifère», oui. Cela dit, je nuancerais votre propos : tant que nous serons humains (avant le posthumain) et que la mort existera, les «moyens de sublimation» trouveront toujours une voie, car il y a nécessité, «besoin», élémentaire. D'où ce post, ainsi que le choix de l'extrait, où l'on en revient justement à l'élémentaire, d'ailleurs contagieux, notez-le bien. Et je ne parle jamais que de ça, partout. (Si vous saviez...)
    Donc merci de la précision, qui m'a permis aussi de faire ce point, pour ceux qui ne me connaissent ou ne me devinent pas (assez), et ils sont légion — c'est le mot.

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  3. Pourtant vous commencez bien, mais jamais vous n'allez assez loin dans le cheminement de l'angoisse à l'essentiel et de l'essentiel au culte.

    Nous passons ici de l'angoisse à la représentation, autrement dit je part du moi pour arriver à l'image de Dieu quand le dogme s'établit autour d'un Dieu comme condition de possibilité du moi.

    Il me semble, donc, que le passage de l'angoisse à l'essentiel est ici oublié. Si bien je retrouve chez vous aussi le malentendu de la "représentation" immanente.

    Mais (de mon point) de vue la divination du devenir rempli pour vous, le rôle que vous incombez ici au besoin primaire de l'homme.

    J'espère ne pas avoir été trop obscur.

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  4. ici Onfray s'en rapprochais un peu:
    http://www.dailymotion.com/video/x93ht0_de-construction-divine_webcam

    Bien sur je ne commenterais pas ses conclusions que je ne partage pas, à moins que vous ne m'en fassiez la demande.

    ps: n'hésitez pas à corriger mes fautes, je ne prends pas le temps de me relire et nous ne pouvons pas modifier ce que l'on envoi.

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  5. Moi je partage évidemment ces conclusions, puisqu'elles viennent de moi. Mais de là à les rapprocher de cet article... Il manque des transitions.

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  6. Oui, j'avais bien compris qu'au fond Onfray c'était vous. Je faisais allusion au passage monté il parle d'inversion.

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  7. Si vous voulez... Bien que...
    Mais déjà, pour réagir aussi au premier commentaire : « obscur », si.

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