N'en jetons presque plus ! Trions, reprenons, détournons. L'essentiel est presque bien dit et redit, en long, en large... Reprenons serré, de travers, à travers. Par les moyens d'avenir du présent. Pour le présent de l'avenir. (OTTO)KARL
"[Je rêve] d'une écriture discontinue, qui ne s'apercevrait pas qu'elle est une écriture, qui se servirait du papier blanc, ou de la machine, ou du porte-plume, ou du clavier, comme ça, au milieu de tas d'autres choses qui pourraient être le pinceau ou la caméra. Tout ça passant très rapidement de l'un à l'autre, une sorte de fébrilité et de chaos" (M.F.)
Il faudrait élargir cette citation, que j'affectionne tellement. Je ne saisis pas bien ce qu'elle vient faire sous cet article-là mais je connais très bien ce texte, et pour cause. Tout un programme, qui est le mien, depuis quelques années. Pour ce blog, déjà, certes, mais pour d'autres projets, car je me sens très malheureusement de plus en plus forcé d'en venir, d'en passer par le papier. Ce programme, que j'adore, s'avère alors être un de mes recours, méthodologique et formel, d'ailleurs explicite. Merci !
J'ai pensé à vous quand je suis tombé sur cet entretien, alors j'ai posté cet extrait en commentaire de votre dernier article, de manière peut-être inopportune, je le confesse. Quand à votre article et au précédent, ils me renvoient à mon propre rapport à la littérature : trop de dispersion, de tentations, trop d'auteurs, trop de livres, et pas assez de temps.
"Je crois aux vertus cachées des papyrus. Pas d'ordinateur, pas d'écran, pas d'affiche : le papier respire, il faut s'inventer une oreille pour l'écouter. Molécules, esprit des forêts, odeur de l'imprimerie, peau, soie, parfum, comme avec une femme qu'on aime. Le papier s'exprime, la main parle en glissant dans l'encre. Vous ne l'entendez pas ? Mauvais signe : au pays des morts, vous ne passerez pas." P.S.
"[Je rêve] d'une écriture discontinue, qui ne s'apercevrait pas qu'elle est une écriture, qui se servirait du papier blanc, ou de la machine, ou du porte-plume, ou du clavier, comme ça, au milieu de tas d'autres choses qui pourraient être le pinceau ou la caméra. Tout ça passant très rapidement de l'un à l'autre, une sorte de fébrilité et de chaos"
RépondreSupprimer(M.F.)
Il faudrait élargir cette citation, que j'affectionne tellement. Je ne saisis pas bien ce qu'elle vient faire sous cet article-là mais je connais très bien ce texte, et pour cause. Tout un programme, qui est le mien, depuis quelques années. Pour ce blog, déjà, certes, mais pour d'autres projets, car je me sens très malheureusement de plus en plus forcé d'en venir, d'en passer par le papier. Ce programme, que j'adore, s'avère alors être un de mes recours, méthodologique et formel, d'ailleurs explicite. Merci !
RépondreSupprimerJ'ai pensé à vous quand je suis tombé sur cet entretien, alors j'ai posté cet extrait en commentaire de votre dernier article, de manière peut-être inopportune, je le confesse.
RépondreSupprimerQuand à votre article et au précédent, ils me renvoient à mon propre rapport à la littérature : trop de dispersion, de tentations, trop d'auteurs, trop de livres, et pas assez de temps.
On en est « tous » là ! Ou on en était là, avant de finir par suivre, ou essayer de suivre ce conseil, salutaire en effet. Alors ? Résolution ?
RépondreSupprimerConservons le point d'interrogation, pour le moment...
RépondreSupprimer"Je crois aux vertus cachées des papyrus. Pas d'ordinateur, pas d'écran, pas d'affiche : le papier respire, il faut s'inventer une oreille pour l'écouter. Molécules, esprit des forêts, odeur de l'imprimerie, peau, soie, parfum, comme avec une femme qu'on aime. Le papier s'exprime, la main parle en glissant dans l'encre. Vous ne l'entendez pas ? Mauvais signe : au pays des morts, vous ne passerez pas." P.S.
RépondreSupprimerMerci pour la réaction.
RépondreSupprimerLà-dessus, je continuerai de vous répondre au cours de ce mois de janvier, comme annoncé (dans mon ottodéfense).