Mais justement, la philosophie comme je l'entends vise et consiste à devenir simple, à re!devenir simple, aussi sympleⓚ que possible, en étant passé, via la force des choses, par le (pro)fond.
Bref, à se rendre intelligemment « superficiel, par profondeur », comme on peut rendre un animal à sa liberté.
(O.K.)
Pour te répondre il y aurait trop à dire. À commencer par te donner raison, mais à moitié. Car ce à quoi tu ne penses pas, c'est au plaisir, déjà, de philosopher, d'écrire, de mettre au clair (et net) ce qu'on pense, et soi-même par là-même, etc. et ensuite et surtout au fait qu'on ne vit pas seul, et que la philosophie a précisément aussi une visée politique, de multiplication de progrès, de progrès éthique, à commencer par celui de premier entourage, pour, ainsi, mieux vivre, faire mieux vivre et vivre d'autant mieux, tout simplement. Et les philosophes-naturels, ou plutôt sages-naturels, que tu m'objectes sont justement très rares — ne me dis pas que tu te sens entourée de ce genre d'heureuses natures. Elles sont magnifiques, certes, quoiqu'un chouia « vulgaires » aussi peut-être, au sens de paulhan, qui me fera d'ailleurs conclure pour mon compte : « il est des gens qui parviennent assez vite à vivre, avec tout ce que cela suppose : je leur trouve une certaine vulgarité (...) Pour moi, si j'arrive plus tard aux choses, je sais du moins assez clairement comment j'y arrive. » Et comment, dès lors, le partager! si possible.
(Bon, finalement je t'ai répondu en partie. Mais j'ajoute : attends encore, attends la suite!... de la voie du jeu... : l'en jeu. Et toute la suite !)
(O.K.)
cf. filosophe
cf. au fond, michel onfray, c'est moi
Bref, à se rendre intelligemment « superficiel, par profondeur », comme on peut rendre un animal à sa liberté.
(O.K.)
Pour te répondre il y aurait trop à dire. À commencer par te donner raison, mais à moitié. Car ce à quoi tu ne penses pas, c'est au plaisir, déjà, de philosopher, d'écrire, de mettre au clair (et net) ce qu'on pense, et soi-même par là-même, etc. et ensuite et surtout au fait qu'on ne vit pas seul, et que la philosophie a précisément aussi une visée politique, de multiplication de progrès, de progrès éthique, à commencer par celui de premier entourage, pour, ainsi, mieux vivre, faire mieux vivre et vivre d'autant mieux, tout simplement. Et les philosophes-naturels, ou plutôt sages-naturels, que tu m'objectes sont justement très rares — ne me dis pas que tu te sens entourée de ce genre d'heureuses natures. Elles sont magnifiques, certes, quoiqu'un chouia « vulgaires » aussi peut-être, au sens de paulhan, qui me fera d'ailleurs conclure pour mon compte : « il est des gens qui parviennent assez vite à vivre, avec tout ce que cela suppose : je leur trouve une certaine vulgarité (...) Pour moi, si j'arrive plus tard aux choses, je sais du moins assez clairement comment j'y arrive. » Et comment, dès lors, le partager! si possible.
(Bon, finalement je t'ai répondu en partie. Mais j'ajoute : attends encore, attends la suite!... de la voie du jeu... : l'en jeu. Et toute la suite !)
(O.K.)
cf. filosophe
cf. au fond, michel onfray, c'est moi
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