... [Mais] je voudrais tellement que ça soit pas possible, que ce soit plus possible, de telles relations ; que ce soit complètement passé de mode, de tolérance ; que ce soit devenu dans les moeurs aussi abject que d'envisager les noirs comme du bétail sans âme, ou aussi abject que la torture, justement, car c'en est une forme — ni plus, ni moins. Je dis bien : ni plus ni moins. Torture psychologique, sentimentale...
Merde ! La peine de mort pour les princesses ! (hahah !)
Mais je rigole peu, en fait ; il faudrait vraiment leur montrer, leur en faire voir, aux princesses. (Et princes !) Qu'elles arrêtent de se comporter en centres du monde, en tyrans, tout simplement. Ni plus ni moins. Je répète : ni plus ni moins. Il faut réfléchir. Un tyran d'intérieur, certes, intime, à petite échelle, individuelle... mais transpose : imagine-toi maintenant ta [chérie] à la tête d'un pays : ce serait le carnage absolu... par (le fait de la princesse, comme on dit) l'arbitraire de ses quarante volontés, ses humeurs incontrôlées, ses caprices complaisants... Et même à ce poste, à cette échelle, ça la rendrait pas plus heureuse !
C'est aussi ça qu'il faut savoir. Non seulement que tu es, toi, le malheureux sujet de ce royaume, mais qu'en plus c'est pas la bonne voie pour elle non plus. C'est l'évidence-même. On le sait.
[Le remède ? Ou l'un des remèdes, en fait] (...) : qu'elle tombe sur plus fort qu'elle ! Et non sur plus doux. Il faut qu'elle tombe sur une claque — non pas dans la figure, mais au figuré. Et même une machine à claques, s'il le faut, pour la remettre à sa place ; et qui dit sa place dit son propre équilibre.
Impossible d'être heureux quand on est pas à sa place, dans ses chaussures. Et nos chaussures, on les connaît : on est de curieux animaux (particulièrement techniciens) à la vie éclair sur une poussière humide pivotant dans un univers relativement infini. Je renverrais apparemment jamais assez à la rubrique cosmologique du blog nordexpress ; ou/où, comme le formule H.T. entre plein d'autres (...), « on est dans l'éternité, avant tout. » Bref, ce serait moins (urgent) à toi qu'à elle de le comprendre. Je dis bien de le com-prendre, c'est-à-dire de le vivre, le ressentir intimement, existentiellement. Et basta de son nombril !
Tu me diras « oui oui, mais... » mais il faudrait pas de « mais ». Il faudrait de l'ici et maintenant, direct, tranchant. Mais malheureusement, je suppose déjà la suite, les petites fuites... Pourquoi ? En vertu de quoi ? Je le sais aussi. (Au moins en partie.)
(O.K.)
la suite : dyspaartition
cf. king/kang
cf. O+
cf. deux classes de filles
cf. aide à la relativisation générale
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