Qu’il fasse mauvais t’évitait la culpabilité de ne pas sortir. Tu pouvais rester chez toi sans qu’apparaisse l’anomalie de ton enfermement. Personne ne venait alors t’interroger sur ton goût pour la chambre.
(...)
Ton corps, comme celui d’un animal, produisait plus d’énergie que nécessaire. Le trop-plein de puissance que tu accumulais se retournait contre toi si tu ne l’évacuais pas. Si tu passais une semaine sans te dépenser, tu trépignais, tes muscles étaient tendus dès le réveil, et ne se relâchaient qu’à la tombée de la nuit.
(E.L. – merci à S.)
cf. in su ici de
cf. délicatescence
cf. amphibie
(...)
Ton corps, comme celui d’un animal, produisait plus d’énergie que nécessaire. Le trop-plein de puissance que tu accumulais se retournait contre toi si tu ne l’évacuais pas. Si tu passais une semaine sans te dépenser, tu trépignais, tes muscles étaient tendus dès le réveil, et ne se relâchaient qu’à la tombée de la nuit.
(E.L. – merci à S.)
cf. in su ici de
cf. délicatescence
cf. amphibie
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire