L'exploration urbaine ou urbex est une activité consistant à visiter des lieux, abandonnés ou non, et en général interdits d'accès, ou tout du moins d'accès difficile. L'explorateur urbain apprécie la solitude des espaces situés en-dehors des zones d'activité et de passage conçues comme telles : ainsi, la visite guidée de la nef d'une cathédrale sera remplacée par l'exploration nocturne de ses toits, les usines abandonnées deviennent un terrain de jeu, etc.
En France, la région parisienne est propice à cette activité (métro, nombreux chantiers, usines, hôpitaux et autres bâtiments abandonnés, toits d'immeubles, monuments, souterrains, etc.), ou encore les régions sinistrées, en france ou ailleurs. L'Australie et les États-Unis comptent également des communautés importantes de pratiquants.
Centres d'intérêt des explorateurs urbains :
- Friche industrielle, maison abandonnée, galerie technique, chantiers.
- Toit, terrasse, pont, pylône, grue. On parle alors de toiturophilie.
- Lieu de cultes, édifice exceptionnel.
- Métro, train, dépôt.
- Aqueduc, égout, déversoir.
- Carrière, Mine, cave, crypte. Notamment, la visite des carrières souterraines de Paris (parfois confondues avec les catacombes) se nomme la cataphilie.
- Bunker.
- Ouvrage troglodytique.
- Gouffre, grotte naturelle.
(…)
Cela dit, peut-être, les meilleures expériences d'exploration urbaine restent encore les plus confidentielles et secrètes. À titre personnel, par exemple, pour avoir eu la chance d'y prendre part à deux reprises, nous songeons aux inoubliables explorations urbaines, alors informelles, informulées comme telles mais quasi quotidiennes (2003-2005) d'un jeune duo franco-allemand sur le territoire d'une grande ville sinistrée d'ex-allemagne de l'est : Leipzig. (…)
(E.)
cf. leipzig mon amour
cf. l'artistisant dénatureur de ruines
En France, la région parisienne est propice à cette activité (métro, nombreux chantiers, usines, hôpitaux et autres bâtiments abandonnés, toits d'immeubles, monuments, souterrains, etc.), ou encore les régions sinistrées, en france ou ailleurs. L'Australie et les États-Unis comptent également des communautés importantes de pratiquants.
Centres d'intérêt des explorateurs urbains :
- Friche industrielle, maison abandonnée, galerie technique, chantiers.
- Toit, terrasse, pont, pylône, grue. On parle alors de toiturophilie.
- Lieu de cultes, édifice exceptionnel.
- Métro, train, dépôt.
- Aqueduc, égout, déversoir.
- Carrière, Mine, cave, crypte. Notamment, la visite des carrières souterraines de Paris (parfois confondues avec les catacombes) se nomme la cataphilie.
- Bunker.
- Ouvrage troglodytique.
- Gouffre, grotte naturelle.
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Cela dit, peut-être, les meilleures expériences d'exploration urbaine restent encore les plus confidentielles et secrètes. À titre personnel, par exemple, pour avoir eu la chance d'y prendre part à deux reprises, nous songeons aux inoubliables explorations urbaines, alors informelles, informulées comme telles mais quasi quotidiennes (2003-2005) d'un jeune duo franco-allemand sur le territoire d'une grande ville sinistrée d'ex-allemagne de l'est : Leipzig. (…)
(E.)
cf. leipzig mon amour
cf. l'artistisant dénatureur de ruines
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