« Oui, mais quand on est doux, les femmes préfèrent les brutes » geignent les anciens favoris. C’est faux. Certaines femmes aiment la puissance, ne la craignent pas chez les autres. La puissance n’est pas une brutalité. Les deux notions sont bien distinctes. (…) Il y a une forme de force qui n’est ni masculine ni féminine, qui impressionne, affole, rassure. Une faculté de dire non, d’imposer ses vues, de ne pas se dérober.
(V.D.)
cf. O+
cf. coquillage & rocher
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(V.D.)
cf. O+
cf. coquillage & rocher
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