Couples ou partenariats propriétaires... « la propriété, c'est le vol ». Le vol d'« amour » à partager, diversifié, étendu, détendu... La propriété, c'est le viol.
(O.K.)
[Rien passé, copain rassuré ?] Mais rien de quoi et rassuré de quoi, au fait ? De sexuel, et que la misère tient bon ?
(O.K.)
Mais c'est pas la question. Jaloux ou pas, ou plus ou moins, la question c'est : comportement propriétaire ou pas, ou plus ou moins.
(O.K.)
Reconnais qu'il serait pas si simple que sa femme débarque chez moi toute seule en visite, par exemple. Par exemple. Mais c'est déjà énorme, ça. Ces barrières contre les échanges. Et tout ça ? Parce qu'il y a... : le Sexe – dans tous les sens du terme. (...) [Ici] non pas (...) critique particulière de ce couple-là, mais générale de notre culture... de la misère. Car oui cette misère se cultive, en nous, et en masse.
(O.K.)
...cette culture propriétaire, qui me vaut d'ailleurs un enchaînement de déconvenues ces derniers temps, et même un déchaînement presque, ha. Mais depuis toujours, en fait. Moi qui, tellement, à défaut de pouvoir revenir en deçà, voudrais vivre, convive, au delà du (sérieux) Sexuel – autrement dit postsexuel –, c'est-à-dire dégagé des luttes primaires qui co-ordonnent cette misère affective et sensuelle qu'en dessous de tout on connaît par dessus tout, mais par une familiarité et une fatalité ou résignation telles, qu'on l'identifie à peine – perdue.
(O.K.)
Au lieu du jeu (rêvé)... cet enjeu du Sexuel jette une suspicion sur la plupart de nos échanges (affectifs) intersexués – a fortiori lorsqu'ils coupent la propriété d'un couple, c'est-à-dire presque partout, toujours – « suçpicion » qui les avorte, ces échanges, ou alors les guinde, les assèche, les bride, les empêche, déséquilibre, cloisonne, empoissonne nos vies, leur désir, leur expansion... leur puissance.
(O.K.)
> extension du domaine de l'amour
> se déc(o)upler
> pour de la l'amour poli
> personne à personne
(O.K.)
[Rien passé, copain rassuré ?] Mais rien de quoi et rassuré de quoi, au fait ? De sexuel, et que la misère tient bon ?
(O.K.)
Mais c'est pas la question. Jaloux ou pas, ou plus ou moins, la question c'est : comportement propriétaire ou pas, ou plus ou moins.
(O.K.)
Reconnais qu'il serait pas si simple que sa femme débarque chez moi toute seule en visite, par exemple. Par exemple. Mais c'est déjà énorme, ça. Ces barrières contre les échanges. Et tout ça ? Parce qu'il y a... : le Sexe – dans tous les sens du terme. (...) [Ici] non pas (...) critique particulière de ce couple-là, mais générale de notre culture... de la misère. Car oui cette misère se cultive, en nous, et en masse.
(O.K.)
...cette culture propriétaire, qui me vaut d'ailleurs un enchaînement de déconvenues ces derniers temps, et même un déchaînement presque, ha. Mais depuis toujours, en fait. Moi qui, tellement, à défaut de pouvoir revenir en deçà, voudrais vivre, convive, au delà du (sérieux) Sexuel – autrement dit postsexuel –, c'est-à-dire dégagé des luttes primaires qui co-ordonnent cette misère affective et sensuelle qu'en dessous de tout on connaît par dessus tout, mais par une familiarité et une fatalité ou résignation telles, qu'on l'identifie à peine – perdue.
(O.K.)
Au lieu du jeu (rêvé)... cet enjeu du Sexuel jette une suspicion sur la plupart de nos échanges (affectifs) intersexués – a fortiori lorsqu'ils coupent la propriété d'un couple, c'est-à-dire presque partout, toujours – « suçpicion » qui les avorte, ces échanges, ou alors les guinde, les assèche, les bride, les empêche, déséquilibre, cloisonne, empoissonne nos vies, leur désir, leur expansion... leur puissance.
(O.K.)
> extension du domaine de l'amour
> se déc(o)upler
> pour de la l'amour poli
> personne à personne