. Des moments de paix, d'abandon, nous en avons eu aussi ensemble (...).
. On ne peut pas expliquer la complicité. (…) Je sais seulement qu'il existe des moments. Ils peuvent se produire avec une femme, un homme, une bouteille de vin. Ce sont des états de grâce partagés.
. On ne peut pas expliquer la complicité. (…) Je sais seulement qu'il existe des moments. Ils peuvent se produire avec une femme, un homme, une bouteille de vin. Ce sont des états de grâce partagés.
Ils me font penser à une prise réussie au cinéma. Il y a toujours
une part d'irrationnel dans une prise réussie. On travaille des heures,
on passe son temps à refaire, à reprendre, à modifier, puis soudain
c'est la bonne. On ne comprend pas pourquoi, mais c'est l'éclaircie,
c'est la bonne. (...)
(G.D. - merci à J.D.)