- à alexis -
Étymologie du mot travail : tripalium (latin populaire). Ce mot latin populaire tripalium désignait un instrument d’immobilisation (et éventuellement de torture) à trois pieux. On appelle encore travail un appareil servant à immobiliser les chevaux rétifs pour les ferrer ou les soigner. Le mot travail désignait autrefois l’état d’une personne qui souffre (ce sens est toujours utilisé en obstétrique). Il a été étendu ensuite aux occupations nécessitant des efforts pénibles, celles des « hommes de peine », puis à toutes les activités de production.
(APFA)
L'animal naturellement ne travaille pas. Tout animal, oiseau ou poisson, possède son domaine propre, un lopin d'air, un arpent de sol, où il chasse et pêche de plein droit. Pendant des millions d'années, l'homme n'a pas plus travaillé que le condor, la gazelle ou le rhinocéros. (...)
Le mot travail n'existe pas en grec. Il n'y a que le mot agir, faire : faire l'amour, faire la sieste.
Travailler est chose d'esclave. Platon ne travaille pas.
(...)
La civilisation du travail voilà l'ennemi !
« Travaillons à bien penser », dit Pascal. C'est tout le travail que je vous souhaite.
(J.D.)
Il ne manque cependant à l'oisiveté du sage qu'un meilleur nom, et que méditer, parler, lire et être tranquille s'appelât travailler.
(J.d.L.B.)
cf. pour une dénaturalisation du travail
cf. chapitre TRAVALIÉNANT
Étymologie du mot travail : tripalium (latin populaire). Ce mot latin populaire tripalium désignait un instrument d’immobilisation (et éventuellement de torture) à trois pieux. On appelle encore travail un appareil servant à immobiliser les chevaux rétifs pour les ferrer ou les soigner. Le mot travail désignait autrefois l’état d’une personne qui souffre (ce sens est toujours utilisé en obstétrique). Il a été étendu ensuite aux occupations nécessitant des efforts pénibles, celles des « hommes de peine », puis à toutes les activités de production.
(APFA)
L'animal naturellement ne travaille pas. Tout animal, oiseau ou poisson, possède son domaine propre, un lopin d'air, un arpent de sol, où il chasse et pêche de plein droit. Pendant des millions d'années, l'homme n'a pas plus travaillé que le condor, la gazelle ou le rhinocéros. (...)
Le mot travail n'existe pas en grec. Il n'y a que le mot agir, faire : faire l'amour, faire la sieste.
Travailler est chose d'esclave. Platon ne travaille pas.
(...)
La civilisation du travail voilà l'ennemi !
« Travaillons à bien penser », dit Pascal. C'est tout le travail que je vous souhaite.
(J.D.)
Il ne manque cependant à l'oisiveté du sage qu'un meilleur nom, et que méditer, parler, lire et être tranquille s'appelât travailler.
(J.d.L.B.)
cf. pour une dénaturalisation du travail
cf. chapitre TRAVALIÉNANT
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