La vie est une porte qu'on nous claque lentement au nez, et lorsque
l'ouverture se réduit à une fine fente de lumière, nous tâchons de nous
souvenir de ce merveilleux paysage qu'elle nous offrait jadis, grand
ouvert, le panorama d'un avenir sans fin.
(J.-B.H.)
(J.-B.H.)
La vie est une porte qu'on nous claque lentement au nez, et lorsque l'ouverture se réduit à une fine fente de lumière, nous tâchons de nous souvenir de ce merveilleux paysage qu'elle nous offrait jadis, grand ouvert, le panorama d'un avenir sans fin. Cet avenir meurt ce jour même où je me souviens.
RépondreSupprimer(J.-B. Harang)