Pourquoi du champagne ? Parce que son ivresse ne ressemble à nulle
autre. Chaque alcool possède une force de frappe particulière ; le champagne (...) élève l'âme vers ce que dut être la condition de gentilhomme à
l'époque où ce beau mot avait du sens. Il rend gracieux, à la fois léger
et profond, désintéressé...
(…)
j'ai compris que le breuvage provoquait des visions qui lui étaient apparentées : l'or de sa robe (…), les bulles (…)[,] le glacé de la gorgée.
(...)
l'esprit du champagne approuvait ma conduite : je l'avais accueilli en moi comme un hôte de marque, je l'avais reçu avec une déférence extrême, en échange de quoi il me prodiguait ses bienfaits à foison ; il n'était pas jusqu'à ce naufrage qui ne soit une grâce. Si Ulysse avait eu la noble imprudence de ne pas s'attacher au mât, il m'aurait suivi là où m'entraînait l'ultime pouvoir du breuvage, il aurait coulé avec moi au fond de la mer, bercé par le chant blond des sirènes.
(A.N.)
Il y a un instant, entre la 15e et la 16e gorgée de champagne où tout homme est un aristocrate.
(A.N.)
Le champagne est le vin de la civilisation.
(T.)
C'est une toute nouvelle lubie, ça. (...) Pourquoi pas plus de champagne dans ma vie quotidienne, juste comme ça. En économisant sur le reste. Mais puisque c'est le « tip-top » du top... Avec l'absinthe, pour moi. (...) Absinthe et champagne, c'est la grâce, les deux « forces de frappe » éthyliques que je préfère, aujourd'hui. Ma fée, ma sirène... « Que dis-tu d'un ménage à trois » ?
(O.K.)
(…)
j'ai compris que le breuvage provoquait des visions qui lui étaient apparentées : l'or de sa robe (…), les bulles (…)[,] le glacé de la gorgée.
(...)
l'esprit du champagne approuvait ma conduite : je l'avais accueilli en moi comme un hôte de marque, je l'avais reçu avec une déférence extrême, en échange de quoi il me prodiguait ses bienfaits à foison ; il n'était pas jusqu'à ce naufrage qui ne soit une grâce. Si Ulysse avait eu la noble imprudence de ne pas s'attacher au mât, il m'aurait suivi là où m'entraînait l'ultime pouvoir du breuvage, il aurait coulé avec moi au fond de la mer, bercé par le chant blond des sirènes.
(A.N.)
Il y a un instant, entre la 15e et la 16e gorgée de champagne où tout homme est un aristocrate.
(A.N.)
Le champagne est le vin de la civilisation.
(T.)
C'est une toute nouvelle lubie, ça. (...) Pourquoi pas plus de champagne dans ma vie quotidienne, juste comme ça. En économisant sur le reste. Mais puisque c'est le « tip-top » du top... Avec l'absinthe, pour moi. (...) Absinthe et champagne, c'est la grâce, les deux « forces de frappe » éthyliques que je préfère, aujourd'hui. Ma fée, ma sirène... « Que dis-tu d'un ménage à trois » ?
(O.K.)
La vie est un risque. Si tu n'as pas risqué, tu n'as pas vécu. C'est ce qui donne... un goût de champagne.
RépondreSupprimer(Soeur Emmanuelle)
Le vin de Champagne fut longtemps chaleureusement recommandé en œnothérapie au motif qu'il « dissipe les états nauséeux et soutient le moral ». En 1718, dans son traité sur les vins de Champagne, le chanoine Godinot assurait : « De tous les vins, il n'en est pas de meilleur pour la santé qu'un vin gris de Champagne, ou de couleur œil de perdrix. »
RépondreSupprimerSes qualités :
• Son gaz carbonique provient uniquement de la seconde fermentation, il n'est pas ajouté, comme l'est celui de certains vins mousseux et des boissons gazéifiées.
• Le champagne n'irrite pas l'estomac malgré un pH très faible, il ne nuit pas à la digestion, mais l'améliore, en dissolvant les graisses et en évitant les ballonnements.
• Comme tous les vins blancs secs, il est diurétique et aide à éliminer les excès.
• Il est riche en sels minéraux assimilables, en particulier en potassium, en calcium, en magnésium et en soufre, et possède donc des propriétés dépuratives, détoxicantes et anti-inflammatoires. Il agit ainsi sur les rhumatismes, les rhumes et les allergies.
• Il contient aussi des oligo-éléments, dont le zinc, utile à la régulation de l'influx nerveux et, avant l'utilisation des anxiolytiques, le champagne était reconnu comme antidépresseur et anxiolytique. Il contient aussi du phosphore et du lithium, importants pour la régulation des humeurs.
(wikipédia)
Depuis la Haute Antiquité, l’absinthe a été considérée comme une plante ayant les vertus thérapeutiques les plus précieuses :
RépondreSupprimerUn papyrus égyptien de 1600 avant Jésus-Christ recommande l’absinthe comme stimulant et tonique, antiseptique, et comme remède contre la fièvre et les règles douloureuses.
Pythagore pensait que les feuilles d’absinthe dans le vin favorisait l’accouchement, et Hippocrate recommandait l’absinthe pour les règles douloureuses, l’anémie et le rhumatisme.
L’absinthe était la plante d’Artémis, déesse grecque responsable des morts violentes.
Dans l’Antiquité gréco-romaine, on l’utilisa en infusion comme antidote du poison (ciguë) ou pour ses vertus abortives.
Les Gaulois s’en ceinturaient les reins, les hommes contre les rhumatismes, les femmes pour faire venir leurs règles. Quant aux Druides, ils l’offraient aux Dieux.
Au XVIIe siècle, l’absinthe servait d’insecticide (en bouquet sec, elle éloigne les insectes).
Au Moyen-âge, le vin d’absinthe était une boisson courante, composé principalement de grande absinthe, d’anis et d’hysope. Il était prescrit pour ouvrir l’appétit ou soulager une mauvaise digestion.
Aujourd’hui, l’essence d’absinthe est utilisée comme anti-inflammatoire dans beaucoup de produits pharmaceutiques disponibles librement, y compris le Vicks Vaporub.
Utilisée comme vermifuge, dans les maladies de l’estomac, pour provoquer les règles, dans le combat contre la paresse, contre le mal de mer et ses nausées, cette plante peut être utilisée en infusion avec du vin, de la bière en poudre ainsi qu’en décoction. En usage externe, on recourt à un cataplasme chaud, mais également à la décoction.
Elle est appréciée lors de problèmes digestifs ( flatulences, ballonnements), ou pour relancer l’appétit grâce à l’effet stimulant sur l’appétit (boire une tisane d’absinthe 30 minutes avant le repas)
En Afrique du Nord, où elles sont appelées chiba (et non pas chih —artemisia herba-alba— qui est une autre plante qui pousse surtout dans les plaines désertique de la région orientale marocaine, et est utilisable en médecine populaire en infusion, ou en décoction, pour traiter les spasmes abdominaux), les feuilles d’absinthe sont parfois ajoutées au thé à la menthe classique (en petite quantité, le goût étant très fort), soit pour leur goût particulier et très apprécié, soit pour pallier la rareté de la menthe en hiver, soit tout simplement pour réchauffer le corps.
(http://www.encyclopedie-incomplete.com/?Ode-a-l-Absinthe,779)