... ce que nous prenons pour une certitude scientifique “il n’y a rien après la mort”, ne repose sur aucune preuve.
(...)
Des milliers de gens racontent avoir vécu un état de conscience éveillé alors qu’ils étaient en état de mort cérébrale.
(...)
Est-ce une activité résiduelle dans le cerveau ? La persistance d’un esprit, d’une âme indépendante capable de lui survivre ? Aujourd’hui, cette hypothèse est prise très au sérieux par une partie du monde médical.
(...)
Je savais qu[e mon père] aurait aimé participer à une telle expérience. J’ai caché des objets dans son cercueil. Je n’en ai parlé à personne, pas même à ma femme. Mon hypothèse était la suivante : mon père est vivant quelque part, aussi je lui demande de dire à des médiums que je vais aller interroger quels sont ces objets. (...) Mon père y est parvenu. C’est stupéfiant, incroyable, extraordinaire ! Les résultats de mon test [semblent] accrédite[r] l’hypothèse que la vie se poursuit après la mort [et communique avec la nôtre].
(...)
Fraude, mentalisme, autosuggestions [?] Seul dans une pièce, coupé de tout, [le médium] obtient la même communication claire et précise avec des défunts. (S.A.)[O.K.]
[Les médiums] ont une hyper-intuition stupéfiante. La qualité d’un médium se juge à sa façon d’être à la fois présent avec nous tout en parvenant à faire le vide pour se connecter à ce monde invisible. La plupart des gens ne sont pas capables de discerner ce qui provient de leur intuition de ce qui constitue leur imagination. (S.A.)
[Les différents médiums sollicités] ont tous capté plusieurs défunts de ma famille en plus de mon père. Voilà un autre point stupéfiant : les médiums ont décrit les mêmes personnes, parfois en donnant leurs noms. Croire que ces résultats sont dus à un heureux hasard est irrationnel. (S.A.)
Des éléments rationnels m’ont convaincu que la vie n’est pas réductible à notre existence [«] physique [»]. Ensuite, ce que les médiums m’ont expliqué de la mort a fait naître en moi l’intuition que la façon dont mon père a vécu son existence colore sa vie après la mort. Ce n’est pas une vision religieuse ni morale de l’existence, c’est un fait observé par des médiums : ce que l’on réalise de notre vivant a un impact sur notre vie d’après. (S.A.)
Un lama tibétain m’avait dit : “Si vous voulez savoir à quoi ressemblera votre mort, regardez vos rêves.” (S.A.)
La mort ne nous délivre pas, comme par magie, de nos défauts, de nos blessures non soignées. Mais (...) les êtres vivants comme les morts peuvent s’apaiser et guérir.
D’où l’intérêt de travailler sur soi quand on est [dans cette vie]. (S.A.)
Dans notre société où la spiritualité a disparu, une majorité de gens meurent sans savoir ce qu’il y a après ; il semble qu’ils soient un peu perdus une fois de l’autre côté… (S.A.)
Si vous êtes mort et que vous voyez vos proches inconsolables, vous aurez probablement envie de rester près d’eux pour essayer de leur dire que tout va bien. (...) En cas de décès brutal ou accidentel, certains défunts ne savent pas qu’ils sont morts. C’est une constante quand la mort est subite : ils ont plus de difficulté(s) à la réaliser. (S.A.)
Cela peut-il avoir un lien avec la physique quantique ? Pourquoi pas ! Que nous dit-elle ? Que la réalité, ce que l’on perçoit comme un monde de matière, n’est pas constituée de matière [au sens étroit] mais de vibrations qui échappent au temps et à l’espace. Existerait-il dans notre cerveau des zones capables de percevoir ce monde quantique et, par là même, les esprits immatériels des défunts ? (S.A.)
Même les médecins et les infirmiers qui travaillent en soins palliatifs le décrivent. C’est, par exemple, une vieille dame en parfaite santé mentale qui dit : “Vous voyez mon mari assis dans le fauteuil ? Il m’attend.” Elle seule le voit. C’est comme si, à l’approche de la mort, les deux mondes se rapprochaient. (S.A.)
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Des milliers de gens racontent avoir vécu un état de conscience éveillé alors qu’ils étaient en état de mort cérébrale.
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Est-ce une activité résiduelle dans le cerveau ? La persistance d’un esprit, d’une âme indépendante capable de lui survivre ? Aujourd’hui, cette hypothèse est prise très au sérieux par une partie du monde médical.
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Je savais qu[e mon père] aurait aimé participer à une telle expérience. J’ai caché des objets dans son cercueil. Je n’en ai parlé à personne, pas même à ma femme. Mon hypothèse était la suivante : mon père est vivant quelque part, aussi je lui demande de dire à des médiums que je vais aller interroger quels sont ces objets. (...) Mon père y est parvenu. C’est stupéfiant, incroyable, extraordinaire ! Les résultats de mon test [semblent] accrédite[r] l’hypothèse que la vie se poursuit après la mort [et communique avec la nôtre].
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Fraude, mentalisme, autosuggestions [?] Seul dans une pièce, coupé de tout, [le médium] obtient la même communication claire et précise avec des défunts. (S.A.)[O.K.]
[Les médiums] ont une hyper-intuition stupéfiante. La qualité d’un médium se juge à sa façon d’être à la fois présent avec nous tout en parvenant à faire le vide pour se connecter à ce monde invisible. La plupart des gens ne sont pas capables de discerner ce qui provient de leur intuition de ce qui constitue leur imagination. (S.A.)
[Les différents médiums sollicités] ont tous capté plusieurs défunts de ma famille en plus de mon père. Voilà un autre point stupéfiant : les médiums ont décrit les mêmes personnes, parfois en donnant leurs noms. Croire que ces résultats sont dus à un heureux hasard est irrationnel. (S.A.)
Des éléments rationnels m’ont convaincu que la vie n’est pas réductible à notre existence [«] physique [»]. Ensuite, ce que les médiums m’ont expliqué de la mort a fait naître en moi l’intuition que la façon dont mon père a vécu son existence colore sa vie après la mort. Ce n’est pas une vision religieuse ni morale de l’existence, c’est un fait observé par des médiums : ce que l’on réalise de notre vivant a un impact sur notre vie d’après. (S.A.)
Un lama tibétain m’avait dit : “Si vous voulez savoir à quoi ressemblera votre mort, regardez vos rêves.” (S.A.)
La mort ne nous délivre pas, comme par magie, de nos défauts, de nos blessures non soignées. Mais (...) les êtres vivants comme les morts peuvent s’apaiser et guérir.
D’où l’intérêt de travailler sur soi quand on est [dans cette vie]. (S.A.)
Dans notre société où la spiritualité a disparu, une majorité de gens meurent sans savoir ce qu’il y a après ; il semble qu’ils soient un peu perdus une fois de l’autre côté… (S.A.)
Si vous êtes mort et que vous voyez vos proches inconsolables, vous aurez probablement envie de rester près d’eux pour essayer de leur dire que tout va bien. (...) En cas de décès brutal ou accidentel, certains défunts ne savent pas qu’ils sont morts. C’est une constante quand la mort est subite : ils ont plus de difficulté(s) à la réaliser. (S.A.)
Cela peut-il avoir un lien avec la physique quantique ? Pourquoi pas ! Que nous dit-elle ? Que la réalité, ce que l’on perçoit comme un monde de matière, n’est pas constituée de matière [au sens étroit] mais de vibrations qui échappent au temps et à l’espace. Existerait-il dans notre cerveau des zones capables de percevoir ce monde quantique et, par là même, les esprits immatériels des défunts ? (S.A.)
Même les médecins et les infirmiers qui travaillent en soins palliatifs le décrivent. C’est, par exemple, une vieille dame en parfaite santé mentale qui dit : “Vous voyez mon mari assis dans le fauteuil ? Il m’attend.” Elle seule le voit. C’est comme si, à l’approche de la mort, les deux mondes se rapprochaient. (S.A.)
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