... parce qu’au lendemain il faut être en forme, la ville est à nous : on taille les rues, les places, les squares, à la dure, à l’arrache, la poche en bandoulière. C’est par les pieds, qu’on se fait une idée de la ville ; avant de filer sur un coup de tête. Mais tant qu’on y est on trace ou déambule, on cueille les fruits des branches qui dépassent... du privé : pommes, poires, figues... et le reste en sandwichs. Toujours on se contente d’assez peu à vivre beaucoup ; et les besoins qu’on a, eh ben... on les fait un peu partout ! — par jeu, et en attendant le rétablissement des toilettes publics, et dignes de ce nom. Sinon alors on rentre dans les mairies et les IUT pour se laver la chatte et regorger nos bouteilles d’eau... publique, grâce « à quoi » on se mijote un peu de pastis local, qu’on rafraîchit comme on peut à la flotte des fontaines... publiques, où trempent nos pieds ; ou alors dans l’eau méditerranée, qu’ici à marseille on ira trouver au large de la ville, et non moins en plein arrondissement, pour se retrouver direct à siester sur d’espèce de pavés en se disant que décidément la plage n’est sûrement pas très loin — dessous.
(o.K.)
(o.K.)
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