Plus souvent qu'on le croit une décision personnelle devance sa délibération : il serait pas nécessaire de se torturer la volonté, le corps a déjà choisi, au fond, il est plus malin que nous — à notre endroit surtout. Resterait à en prendre bonne note, mais c'est précisément là que ça coince, on hésite, tergiverse, faisant semblant de pas l'entendre, s'y entendre et en prendre acte. Méfiance, défiance, ça irait trop vite, ce serait pas raisonnable, et puis c'est pas sûr, si ?
En fait, ce corps, il en sait trop, et trop tôt. Trop sûr de lui.
Bref, on admet mal qu'il nous dépasse — pareil à certains individus... qu'on sanctionne de la même façon, du reste, avant de finalement, à eux aussi, donner raison.
(O.K.)
cf. pourquoi nul n'est prophète
cf. nechangerien
cf. l'ascésure
En fait, ce corps, il en sait trop, et trop tôt. Trop sûr de lui.
Bref, on admet mal qu'il nous dépasse — pareil à certains individus... qu'on sanctionne de la même façon, du reste, avant de finalement, à eux aussi, donner raison.
(O.K.)
cf. pourquoi nul n'est prophète
cf. nechangerien
cf. l'ascésure
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