Il est bien difficile d’aimer les écrivains qui nous sont contemporains comme nous aimons, sans réserve, les grands noms consacrés. Ces derniers peut-être parce qu’ils ont cessé d’être des hommes pour devenir des monuments, des paysages, des falaises. Leur gloire ne mortifie pas notre amour-propre qui se rengorge au contraire de leur fréquentation. Mais comment admettre que celui-ci ou celui-là parmi les vivants soit leur égal peut-être ? Hélas, le vaniteux s’humilierait à le reconnaître. Qu’il écrive ou non lui-même, il instaure une relation de rivalité ou de concurrence avec ces auteurs...
(E.C.)
Il ne suffit pas d'avoir du talent : il y faut encore votre permission, — n'est-ce pas, mes amis ?
(F.N. — PDBM §151)
L'homme est aussi mal à l'aise aujourd'hui face à un génie qu'il l'a été au XVIe siècle.
(L.B.)
cf. déni de reconnaissance anthume
cf. pourquoi nul n'est prophète
cf. k.abbale
cf. conpréhensiom
(E.C.)
Il ne suffit pas d'avoir du talent : il y faut encore votre permission, — n'est-ce pas, mes amis ?
(F.N. — PDBM §151)
L'homme est aussi mal à l'aise aujourd'hui face à un génie qu'il l'a été au XVIe siècle.
(L.B.)
cf. déni de reconnaissance anthume
cf. pourquoi nul n'est prophète
cf. k.abbale
cf. conpréhensiom
Génie gênant. Donc génie ? Génié. En attendant sa mort.
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