On simplifierait peut-être la critique si, avant d'énoncer un jugement, on déclarait ses goûts ; car toute œuvre d'art enferme une chose particulière tenant à la personne de l'artiste et qui fait, indépendamment [du reste], que nous sommes séduits ou irrités. (...) L'oubli de cette distinction préalable est une grande cause d'injustice.
Avant tout, l'opportunité du livre est contestée. « Pourquoi ce roman ? à quoi sert un drame ? qu'avons-nous besoin ? etc. » Et, au lieu d'entrer dans l'intention de l'auteur, (...) on le chicane sur mille choses (...), en réclamant (...) le contraire de ce qu'il a voulu. Mais si la compétence du critique s'étend au delà du procédé, il devrait tout d'abord établir son esthétique et sa morale.
(G.F.) (O.K.) (merci à L.W.)
Avant tout, l'opportunité du livre est contestée. « Pourquoi ce roman ? à quoi sert un drame ? qu'avons-nous besoin ? etc. » Et, au lieu d'entrer dans l'intention de l'auteur, (...) on le chicane sur mille choses (...), en réclamant (...) le contraire de ce qu'il a voulu. Mais si la compétence du critique s'étend au delà du procédé, il devrait tout d'abord établir son esthétique et sa morale.
(G.F.) (O.K.) (merci à L.W.)
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